La récente sortie médiatique des autorités internes de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis en l’occurrence le Recteur de l'Université Gaston Berger, le Pr Ousmane Thiaré et le Directeur du Centre des Œuvres Universitaires de Saint-Louis (CROUS), Pape Ibrahima Faye, n’a pas plu du tout aux responsables de la Coordination de cette université. Leur réplique ne s'est pas fait trop attendre.
Ces autorités universitaires s’étaient engagées mardi à assurer la continuité des enseignements en encadrant les étudiants qui désirent poursuivre les cours sans entraves. Pour leur part, les étudiants ont justifié la grève illimitée décrétée dimanche par la volonté de pousser leurs autorités au respect du protocole d'accord qui a été signé en présence du Gouverneur de région. Ce protocole d’accord, a rappelé le porte-parole de la CESL, en l'occurrence Djiby Diène porte sur leurs revendications qui tournent essentiellement autour des lenteurs notées dans le cadre des travaux d’assainissement, de la réhabilitation de la voirie interne, de l’approvisionnement en eau potable au sein des campus sociaux universitaires et de l’installation du Wifi.
Cependant, les étudiants se sont appesantis sur la doléance relative à l’insécurité qui prévaut au sein de l'Université, déplorant ainsi cette ténébreuse affaire de meurtre odieux commis récemment sur leur camarade étudiante Seynabou Kâ Diallo. Autre question qu'ils ont déplorée par rapport à la sortie médiatique du Recteur, c'est le fait de ne pas reconnaître leur Coordination. Djiby Diène a fait comprendre à leurs autorités qu’elles ont toujours jugé nécessaire de travailler avec la CESL, au point de signer avec elle et en présence du Gouverneur de région Alioune Badara Samb, un protocole d'accord.
"Nous ne comprenons pas du tout pourquoi elles affirment aujourd’hui que la Coordination des étudiants de Saint-Louis n’est pas statutaire, alors qu’elle est ampliataire de tous les actes qu’elles posent. Donc si elles menacent d'aujourd'hui d’organiser pour les examens, une session unique, nous les attendons de pied ferme, car cela ne passera pas", a-t-il conclu.
NdarINFO.COM
Ces autorités universitaires s’étaient engagées mardi à assurer la continuité des enseignements en encadrant les étudiants qui désirent poursuivre les cours sans entraves. Pour leur part, les étudiants ont justifié la grève illimitée décrétée dimanche par la volonté de pousser leurs autorités au respect du protocole d'accord qui a été signé en présence du Gouverneur de région. Ce protocole d’accord, a rappelé le porte-parole de la CESL, en l'occurrence Djiby Diène porte sur leurs revendications qui tournent essentiellement autour des lenteurs notées dans le cadre des travaux d’assainissement, de la réhabilitation de la voirie interne, de l’approvisionnement en eau potable au sein des campus sociaux universitaires et de l’installation du Wifi.
Cependant, les étudiants se sont appesantis sur la doléance relative à l’insécurité qui prévaut au sein de l'Université, déplorant ainsi cette ténébreuse affaire de meurtre odieux commis récemment sur leur camarade étudiante Seynabou Kâ Diallo. Autre question qu'ils ont déplorée par rapport à la sortie médiatique du Recteur, c'est le fait de ne pas reconnaître leur Coordination. Djiby Diène a fait comprendre à leurs autorités qu’elles ont toujours jugé nécessaire de travailler avec la CESL, au point de signer avec elle et en présence du Gouverneur de région Alioune Badara Samb, un protocole d'accord.
"Nous ne comprenons pas du tout pourquoi elles affirment aujourd’hui que la Coordination des étudiants de Saint-Louis n’est pas statutaire, alors qu’elle est ampliataire de tous les actes qu’elles posent. Donc si elles menacent d'aujourd'hui d’organiser pour les examens, une session unique, nous les attendons de pied ferme, car cela ne passera pas", a-t-il conclu.
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