Quelques heures après que la coordination des étudiants de Saint-Louis ait décrété une grève illimitée, l’Université Gaston BERGER est plus que désertique car ses occupants ayant plié bagages, ont pris assaut les caravanes organisées hier. On aurait dit que c’est la fermeture du campus ou tout simplement que cette année académique frôle une année invalide ou blanche.
Cependant, le personnel du CROUS, présent sur les lieux comme de coutume, vaquent à leurs occupations. Quant à la coordination, se déclarant « impuissante » et « incapable » d’assurer la sécurité des siens face à la situation actuelle, les demandent tout simplement de regagner leurs domiciles jusqu’à nouvel ordre, néanmoins, elle reste cramponner sur sa position et décide de rester au campus pour poursuivre le combat, d’après les propos de Khadim M. MBACKE, maître de séance.
Rappelons qu’hier, la coordination des étudiants avait sequestré deux agents du Centre Régionales des Œuvres Universitaires de Saint-Louis (CROUS) et sur quelques unes de leurs voitures. Khadim M. SENE, un des délégués, affirme qu’ « après quelques pourparlers, les otages ont été relâchés mais les véhicules restent toujours à leur possession ».
Tout compte fait, aucune réaction de la part des autorités concernées n’est notée jusque là. Et pour le moment, la situation reste très critique, selon les mots de M. DIATTA .
Wely Mbow
Cependant, le personnel du CROUS, présent sur les lieux comme de coutume, vaquent à leurs occupations. Quant à la coordination, se déclarant « impuissante » et « incapable » d’assurer la sécurité des siens face à la situation actuelle, les demandent tout simplement de regagner leurs domiciles jusqu’à nouvel ordre, néanmoins, elle reste cramponner sur sa position et décide de rester au campus pour poursuivre le combat, d’après les propos de Khadim M. MBACKE, maître de séance.
Rappelons qu’hier, la coordination des étudiants avait sequestré deux agents du Centre Régionales des Œuvres Universitaires de Saint-Louis (CROUS) et sur quelques unes de leurs voitures. Khadim M. SENE, un des délégués, affirme qu’ « après quelques pourparlers, les otages ont été relâchés mais les véhicules restent toujours à leur possession ».
Tout compte fait, aucune réaction de la part des autorités concernées n’est notée jusque là. Et pour le moment, la situation reste très critique, selon les mots de M. DIATTA .
Wely Mbow