Les étudiants de l’UGB ont levé depuis vendredi leur mot d’ordre de grève et la reprise des cours reste suspendues à la grève nationale du SAES.
Ce mot d’ordre a été déclenché le 7 février pour principalement deux doléances : les Masters et les bourses pour tous les étudiants de premiére année.
Elles ont été satisfaites selon Abdoulaye Guissé, président de séance.
‘’Les choses ont avancé. On a trouvé une solution au problème des bourses. L’accord de principe pour augmenter le nombre de 900 boursiers retenus a été retenu. Au départ, la première commission avait proposé 668, puis 750 ensuite 850 et, tout dernièrement avec le ministre, 900’’, a ainsi expliqué Abdoulaye Guissé.
Sur un autre plan, il a été décidé de confier à un cadre de réflexion, la définition des modalités de démarrage des masters pour l’année prochaine, a dit l’étudiant annonçant que, pour les étudiants inscrits cette année, une solution transitoire a été trouvée.
‘’Il s’agit de confier cette formation aux instituts privés comme l’IAM et Sup de Co et l’Etat va prendre en charge les bourses’’, a expliqué le président de séance.
‘’Pour éviter aux étudiants de vivre des difficultés pour leur hébergement, a-t-il poursuivi, il a été convenu de faire ces formations ici même à l’UGB.’’
Jugeant ces propositions raisonnables, la CESL a levé le mot d’ordre et remercié le recteur de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, Marie Teuw Niane, ‘’qui a tout fait’’, durant ce mouvement au cours duquel aucune violence n’a été enregistrée.
Les étudiants ont aussi remercié le ministre de l’Enseignement supérieur, Amadou Tidiane Bâ.
Ce mot d’ordre a été déclenché le 7 février pour principalement deux doléances : les Masters et les bourses pour tous les étudiants de premiére année.
Elles ont été satisfaites selon Abdoulaye Guissé, président de séance.
‘’Les choses ont avancé. On a trouvé une solution au problème des bourses. L’accord de principe pour augmenter le nombre de 900 boursiers retenus a été retenu. Au départ, la première commission avait proposé 668, puis 750 ensuite 850 et, tout dernièrement avec le ministre, 900’’, a ainsi expliqué Abdoulaye Guissé.
Sur un autre plan, il a été décidé de confier à un cadre de réflexion, la définition des modalités de démarrage des masters pour l’année prochaine, a dit l’étudiant annonçant que, pour les étudiants inscrits cette année, une solution transitoire a été trouvée.
‘’Il s’agit de confier cette formation aux instituts privés comme l’IAM et Sup de Co et l’Etat va prendre en charge les bourses’’, a expliqué le président de séance.
‘’Pour éviter aux étudiants de vivre des difficultés pour leur hébergement, a-t-il poursuivi, il a été convenu de faire ces formations ici même à l’UGB.’’
Jugeant ces propositions raisonnables, la CESL a levé le mot d’ordre et remercié le recteur de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, Marie Teuw Niane, ‘’qui a tout fait’’, durant ce mouvement au cours duquel aucune violence n’a été enregistrée.
Les étudiants ont aussi remercié le ministre de l’Enseignement supérieur, Amadou Tidiane Bâ.