Les étudiants de la promotion (P 23) de l’U.G.B ont tenu une assemblée générale hier au tour de l’œuf au campus social. La revendication majeure consiste à dénoncer le retard accusé dans le paiement des bourses de ce mois-ci. En outre, ces étudiants très remontés contre la coordination (CESL), fustigent le comportement de cette dernière, ayant rencontré le ministre Mary T. NIANE en catimini.
En effet, une scission est entrain d’etre opérée entre la communauté estudiantine car l’assemblée générale en question a été tenue sans l’aval des délégués mandatés par la coordination et qui semble ne donner aucune suite aux revendications portées par leurs camarades.
Par ailleurs, le changement de taux des bourses, appelé autrement la
« revalorisation de la bourse » par le ministre de l’enseignement supérieur est loin de voir le jour. A cela, s’y ajoute, l’incertitude du paiement de la subvention des mémoires de master.
Bref, eu égard à toutes ces difficultés, la crise universitaire qui ébranle le système éducatif sénégalais depuis quelques semaines, est plus que jamais actuelle car ses racines profondes sont toujours soudées d’où la volonté manifeste des étudiants à combattre les injustices qui jalonnent leur existence quotidienne.
En proie au mutisme ou pire « à l’incohérence dont font montre les délégués dans leurs propos, consultés tour à tour », d’après par les initiateurs de l’assemblée d’hier soir, ces derniers « menacent, cette fois-ci, de « taper fort » si la coordination ne réagit pas d’ici moins de 24h voire aujourd’hui vers 18H00 même s’ils auront affaire aux forces de l’ordre présentes devant le portail de l’université », précisent-ils.
Wolimata MBOW
En effet, une scission est entrain d’etre opérée entre la communauté estudiantine car l’assemblée générale en question a été tenue sans l’aval des délégués mandatés par la coordination et qui semble ne donner aucune suite aux revendications portées par leurs camarades.
Par ailleurs, le changement de taux des bourses, appelé autrement la
« revalorisation de la bourse » par le ministre de l’enseignement supérieur est loin de voir le jour. A cela, s’y ajoute, l’incertitude du paiement de la subvention des mémoires de master.
Bref, eu égard à toutes ces difficultés, la crise universitaire qui ébranle le système éducatif sénégalais depuis quelques semaines, est plus que jamais actuelle car ses racines profondes sont toujours soudées d’où la volonté manifeste des étudiants à combattre les injustices qui jalonnent leur existence quotidienne.
En proie au mutisme ou pire « à l’incohérence dont font montre les délégués dans leurs propos, consultés tour à tour », d’après par les initiateurs de l’assemblée d’hier soir, ces derniers « menacent, cette fois-ci, de « taper fort » si la coordination ne réagit pas d’ici moins de 24h voire aujourd’hui vers 18H00 même s’ils auront affaire aux forces de l’ordre présentes devant le portail de l’université », précisent-ils.
Wolimata MBOW