Le débarquement de plusieurs contingents de gendarmes dans le campus aggrave l'ire de la coordination des étudiants de Saint-Louis, qui, très remonté, maintient sa décision de boycotter les activités pédagogiques et demande toujours aux étudiants de rester chez eux « jusqu'à nouvel ordre ».
Au cours d'un point de presse tenue hier, ces délégués ont fustigé la présence des forces de l'ordre, placés sur certains axes stratégiques de l'université. Ils soutiennent que cette décision des autorités témoigne d'une volonté de rompe au dialogue et de maintenir la situation d'instabilité qui prévaut dans l'université. Les étudiants rament à contre-courant des autorités qui annoncent le démarrage des cours lundi et soutiennent que les cours ne démarreront qu'après satisfaction de leur plateforme revendicative.
Alors que l'annonce du démarrage des paiements des bourses et la réouverture des restaurants universitaires semblaient être des acquis de taille pour ouvrir les portes du dialogue entre ces deux entités, la présence des forces de l'ordre à l'Ugb, installe la brouille et intensifie la colère de la colère de la coordination qui s'agrippe davantage sur sa position initiale.
Aujourd'hui, plusieurs acteurs de l'Ugb, très peinés par la crise, se sont investis pour un retour à la normale. Professeurs et anciens de cette université entament des démarches et invitent les deux camps à la concertation.
NDAR INFO
Au cours d'un point de presse tenue hier, ces délégués ont fustigé la présence des forces de l'ordre, placés sur certains axes stratégiques de l'université. Ils soutiennent que cette décision des autorités témoigne d'une volonté de rompe au dialogue et de maintenir la situation d'instabilité qui prévaut dans l'université. Les étudiants rament à contre-courant des autorités qui annoncent le démarrage des cours lundi et soutiennent que les cours ne démarreront qu'après satisfaction de leur plateforme revendicative.
Alors que l'annonce du démarrage des paiements des bourses et la réouverture des restaurants universitaires semblaient être des acquis de taille pour ouvrir les portes du dialogue entre ces deux entités, la présence des forces de l'ordre à l'Ugb, installe la brouille et intensifie la colère de la colère de la coordination qui s'agrippe davantage sur sa position initiale.
Aujourd'hui, plusieurs acteurs de l'Ugb, très peinés par la crise, se sont investis pour un retour à la normale. Professeurs et anciens de cette université entament des démarches et invitent les deux camps à la concertation.
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