Après un mois de grève, les étudiants grévistes de Saint Louis ont décidé de regagner les amphis. En assemblée générale d’évaluation tenue ce samedi, la coordination des étudiants a fait le bilan devant le nombreux public qui était présent. « Vous n’êtes pas sans savoir qu’au départ, un certain nombre de points étaient inscrits sur la plateforme revendicative, mais aujourd’hui, seule la question relative à la livraison du nouveau village universitaire tarde à être résolue» indique le président de séance de la CESL.
C’est pour cela continue Mamoudou Diallo, « vu le contexte dans lequel nous sommes, on a tout simplement décidé de regagner les salles de classe en attendant de réfléchir sur d’autres méthodes à adopter. »
A la sortie de l’assemblée, les 12 délégués d’étudiants ont tenu un point de presse. Devant les journalistes, ils décèlent les motifs de leur décision.« Nous avons suspendu le mot d’ordre pour prendre en témoin l’ensemble des Sénégalais» précise Mamoudou Diallo.
Mais poursuivant, le président de séance et porte parole de la CESL n’a pas manqué à mettre en garde les autorités. « Nous lançons un ultimatum. Si rien n’est fait, nous seront prêts à nous sacrifier » martèle le président de séance.
En l’a croire, le mot d’ordre a fait l’objet d’une suspension. Mais quoiqu’il en soit, les cours devront reprendre à partir de lundi à l’université Gaston Berger, et tous les examens vont être reprogrammés dans un avenir proche.
Salla Gueye
C’est pour cela continue Mamoudou Diallo, « vu le contexte dans lequel nous sommes, on a tout simplement décidé de regagner les salles de classe en attendant de réfléchir sur d’autres méthodes à adopter. »
A la sortie de l’assemblée, les 12 délégués d’étudiants ont tenu un point de presse. Devant les journalistes, ils décèlent les motifs de leur décision.« Nous avons suspendu le mot d’ordre pour prendre en témoin l’ensemble des Sénégalais» précise Mamoudou Diallo.
Mais poursuivant, le président de séance et porte parole de la CESL n’a pas manqué à mettre en garde les autorités. « Nous lançons un ultimatum. Si rien n’est fait, nous seront prêts à nous sacrifier » martèle le président de séance.
En l’a croire, le mot d’ordre a fait l’objet d’une suspension. Mais quoiqu’il en soit, les cours devront reprendre à partir de lundi à l’université Gaston Berger, et tous les examens vont être reprogrammés dans un avenir proche.
Salla Gueye