La coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL) a tenu une Assemblée Générale, ce jeudi, pour décliner on plan d’action et informer la communauté estudiantine des derniers événements.
Après la décision des autorités universitaires de traduire en conseil de discipline les étudiants qui avaient dirigé le dernier front, l’étau se resserre entre les deux camps. Face à ces menaces, la coordination intensifie le mouvement et décrète 72heures renouvelables.
Pour Khadim Mbacké DIATTA, maître de séance de la Cesl, « il est impensable que les étudiants lâchent prise au moment où certains de leurs camarades risquent de perdre le droit le plus naturel du monde qui est celui de poursuivre leurs études en toute légitimité ».
Les problèmes qui gangrènent la paix sociale à l’UGB sont loin de trouver une résolution puisque selon les étudiants, « aucune réaction positive n’est notée de la part des autorités ». « Le changement de taux des bourses, le paiement des subventions des mémoires de master, entre autres revendications n’ont pas encore eu gain de cause », ont-ils regretté ce matin.
Ainsi, le collectif des étudiants semble plus que jamais déterminé à « combattre ces injustices contre vents et marées ».
« L’université sénégalaise traverse une situation de crise très délicate, cependant, les autorités universitaires doivent trouver des issues de secours pour la sortir de cette impasse », a constaté M. DIATTA, le président de la coordination des étudiants
Wolimata MBOW
Après la décision des autorités universitaires de traduire en conseil de discipline les étudiants qui avaient dirigé le dernier front, l’étau se resserre entre les deux camps. Face à ces menaces, la coordination intensifie le mouvement et décrète 72heures renouvelables.
Pour Khadim Mbacké DIATTA, maître de séance de la Cesl, « il est impensable que les étudiants lâchent prise au moment où certains de leurs camarades risquent de perdre le droit le plus naturel du monde qui est celui de poursuivre leurs études en toute légitimité ».
Les problèmes qui gangrènent la paix sociale à l’UGB sont loin de trouver une résolution puisque selon les étudiants, « aucune réaction positive n’est notée de la part des autorités ». « Le changement de taux des bourses, le paiement des subventions des mémoires de master, entre autres revendications n’ont pas encore eu gain de cause », ont-ils regretté ce matin.
Ainsi, le collectif des étudiants semble plus que jamais déterminé à « combattre ces injustices contre vents et marées ».
« L’université sénégalaise traverse une situation de crise très délicate, cependant, les autorités universitaires doivent trouver des issues de secours pour la sortir de cette impasse », a constaté M. DIATTA, le président de la coordination des étudiants
Wolimata MBOW