La signature du protocole d’accord entre l’UGB et le ministère de l’enseignement et de la recherche, installe un climat délétère au sein de l’institution universitaire. Une partie de la communauté étudiante pressée de rejoindre les amphis salue ce dénouement alors qu’un autre camp accuse leurs dirigeants de trahison et réclament la dissolution de la coordination des étudiants de Saint-Louis (Cesl).
« En signant ce protocole, les délégués ne nous considèrent pas. La majorité des étudiants n’étaient pas pour la signature de ce document. Et on l’avait clairement dit lors de la dernière assemblée générale », déclare un des disciples de Sanar, joint par notre confrère du Quotidien Libération.
« Pourtant, les délégués avaient vivement critiqué le comportement des représentants des autres universités. Mais, aujourd’hui, ils le paraphent le protocole. Ce n’est plus la peine de mettre en place des coordinations qui, en réalité, n’ont jamais gagné de batailles avec les autorités », lâche une autre étudiante très en colère contre ces délégués.
Ndarinfo.com
« En signant ce protocole, les délégués ne nous considèrent pas. La majorité des étudiants n’étaient pas pour la signature de ce document. Et on l’avait clairement dit lors de la dernière assemblée générale », déclare un des disciples de Sanar, joint par notre confrère du Quotidien Libération.
« Pourtant, les délégués avaient vivement critiqué le comportement des représentants des autres universités. Mais, aujourd’hui, ils le paraphent le protocole. Ce n’est plus la peine de mettre en place des coordinations qui, en réalité, n’ont jamais gagné de batailles avec les autorités », lâche une autre étudiante très en colère contre ces délégués.
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