Convaincu qu'il s'agit d'une manœuvre visant "une élimination d'adversaires" en vue de la présidentielle de 2019, l'ancien ministre de l'Energie qui s'exprimait ce vendredi au niveau de la permanence de son mouvement politique à Thiès où il recevait les membres de ladite plateforme, estime que le parrainage tel qu'envisagé par Macky Sall "n'est pas une exigence démocratique".
Les cartes d'électeurs non distribuées, "la Cena morte de sa belle mort", les législatives organisées dans des conditions scandaleuses, ces questions sont hautement plus importantes que le parrainage", a-t-il listé face à la presse. A l'en croire, on ne peut pas mettre sur le même pied d'égalité les partis politiques et les candidatures indépendantes.
Car, "Sans les partis politiques, il n'y a pas de démocratie. Les partis politiques participent à l'exercice et à la vitalité de la démocratie au quotidien…
La démocratie, c'est les partis politiques", insiste Thierno Alassane Sall qui estime, qu'"Il est temps qu'on arrête un individu, une seule personne qui puisse disposer de nos ressources comme elle l'entend".
Enfin, il a invité les membres des plateformes à revivifier les Assises nationales, et faire en sorte qu'"Au-delà du 19 avril, que ce soit un mouvement de reprise en main de notre souveraineté nationale, pas seulement vis-à-vis de nos ressources mais de notre souveraineté au sens où le peuple a le contrôle sur sa justice, sur son Assemblée nationale, sur son économie, son école, etc".
Revoir un extrait de ses propos
Les cartes d'électeurs non distribuées, "la Cena morte de sa belle mort", les législatives organisées dans des conditions scandaleuses, ces questions sont hautement plus importantes que le parrainage", a-t-il listé face à la presse. A l'en croire, on ne peut pas mettre sur le même pied d'égalité les partis politiques et les candidatures indépendantes.
Car, "Sans les partis politiques, il n'y a pas de démocratie. Les partis politiques participent à l'exercice et à la vitalité de la démocratie au quotidien…
La démocratie, c'est les partis politiques", insiste Thierno Alassane Sall qui estime, qu'"Il est temps qu'on arrête un individu, une seule personne qui puisse disposer de nos ressources comme elle l'entend".
Enfin, il a invité les membres des plateformes à revivifier les Assises nationales, et faire en sorte qu'"Au-delà du 19 avril, que ce soit un mouvement de reprise en main de notre souveraineté nationale, pas seulement vis-à-vis de nos ressources mais de notre souveraineté au sens où le peuple a le contrôle sur sa justice, sur son Assemblée nationale, sur son économie, son école, etc".
Revoir un extrait de ses propos
SENEWEB