Les grenades lacrymogènes ont tonné cette après-midi au centre-ville de Dakar plus précisément sur l'avenue Peytavin X Jean Jaurès. Les leaders de l'opposition réunis autour du Front de résistance nationale (Fnr) et leurs militants qui ont voulu tenir leur sit-in à la place Washington se sont heurtés aux forces de l'ordre, armées jusqu'aux dents.
Les échauffourées ont démarré quand les certains leaders en l'occurrence Omar Sarr, Mamadou Diop decroix, Thierno Alassane Sall, Thierno Bocoum et Déthié Fall ont voulu forcer le barrage pour rejoindre le ministère de l'Intérieur. Les forces de l'ordre leur ont opposé un niet catégorique. Tous ces leaders ont été arrêtés et embarqués dans les véhicules de la police. Mamadou Diop de Croix a essayé de résister mais c'était sans compter sur la détermination des policiers qui ont réussi à l'embarquer par la force. Les jeunes qui étaient venus assister à la marche sont dispersés par des coups de grenades lacrymogènes. Ils ont essayé de riposter avec des pierres. Mais, n'ayant pas pu résister à l'odeur âcre des lacrymogènes, ils ont fini prendre leurs jambes à leur cou. C'était la débandade, le sauve qui peut. Chacun essayait d'être à l'abri des projectiles.
Certains militants se sont retranchés au marché au Sandaga tandis que les autres ont trouvé refuge au garage Lat-Dior. Les grenades lacrymogènes sont lancées jusque dans les cantines des commerçants qui étaient obligés de baisser rideaux. Le mot d'ordre des policiers est clair : Pas de rassemblement au centre-ville. Même les interviews sont interdites. Les journalistes qui s'étaient amassés au niveau du rond-point Sandaga n'ont pas échappé aux grenades lacrymogènes. Un policier leur a glissé un projectile pour les disperser.
SENEWEB
Les échauffourées ont démarré quand les certains leaders en l'occurrence Omar Sarr, Mamadou Diop decroix, Thierno Alassane Sall, Thierno Bocoum et Déthié Fall ont voulu forcer le barrage pour rejoindre le ministère de l'Intérieur. Les forces de l'ordre leur ont opposé un niet catégorique. Tous ces leaders ont été arrêtés et embarqués dans les véhicules de la police. Mamadou Diop de Croix a essayé de résister mais c'était sans compter sur la détermination des policiers qui ont réussi à l'embarquer par la force. Les jeunes qui étaient venus assister à la marche sont dispersés par des coups de grenades lacrymogènes. Ils ont essayé de riposter avec des pierres. Mais, n'ayant pas pu résister à l'odeur âcre des lacrymogènes, ils ont fini prendre leurs jambes à leur cou. C'était la débandade, le sauve qui peut. Chacun essayait d'être à l'abri des projectiles.
Certains militants se sont retranchés au marché au Sandaga tandis que les autres ont trouvé refuge au garage Lat-Dior. Les grenades lacrymogènes sont lancées jusque dans les cantines des commerçants qui étaient obligés de baisser rideaux. Le mot d'ordre des policiers est clair : Pas de rassemblement au centre-ville. Même les interviews sont interdites. Les journalistes qui s'étaient amassés au niveau du rond-point Sandaga n'ont pas échappé aux grenades lacrymogènes. Un policier leur a glissé un projectile pour les disperser.
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