L'aide internationale doit arriver ce mardi en Turquie et en Syrie dans les régions touchées la veille par les secousses, dont la première, tôt lundi, a atteint une magnitude de 7,8 et a été ressentie jusqu'au Liban, à Chypre et dans le nord de l'Irak. Selon un nouveau décompte mardi soir de l'organisme public turc de gestion des catastrophes (Afad), au moins 5 434 personnes sont mortes en Turquie. Ce bilan mis à jour porte le total des morts en Turquie et en Syrie à plus de 7 000, dans une série de tremblements de terre parmi les plus violents à avoir frappé la région depuis près d'un siècle.
Au total, quelque 23 millions de personnes pourraient être touchées par ces séismes, a indiqué mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS), promettant son soutien sur le long terme après l'envoi d'aide d'urgence. « Les cartes des événements montrent que 23 millions de personnes sont potentiellement exposées, dont environ 5 millions de personnes vulnérables », a déclaré une responsable de l'OMS, Adelheid Marschang, lors d'une réunion régulière du conseil exécutif de l'organisation.
Sur place, les secours se sont acharnés dans le froid, sous la pluie battante ou la neige, parfois à mains nues, pour sauver chaque vie qui pouvait l'être. Le mauvais temps qui plane sur l'Anatolie complique la tâche des secours et rend le sort des rescapés plus amer encore, grelottant sous des tentes ou autour de braseros improvisés.
RFI
Au total, quelque 23 millions de personnes pourraient être touchées par ces séismes, a indiqué mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS), promettant son soutien sur le long terme après l'envoi d'aide d'urgence. « Les cartes des événements montrent que 23 millions de personnes sont potentiellement exposées, dont environ 5 millions de personnes vulnérables », a déclaré une responsable de l'OMS, Adelheid Marschang, lors d'une réunion régulière du conseil exécutif de l'organisation.
Sur place, les secours se sont acharnés dans le froid, sous la pluie battante ou la neige, parfois à mains nues, pour sauver chaque vie qui pouvait l'être. Le mauvais temps qui plane sur l'Anatolie complique la tâche des secours et rend le sort des rescapés plus amer encore, grelottant sous des tentes ou autour de braseros improvisés.
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