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La prostitution clandestine prend des propensions inquiétantes à Saint-Louis et dans l’ile où la pratique du plus vieux métier du monde semble chaque jour se densifier. En dehors de certaines boites de nuit réputées être les lieux de prédilection de ces femmes, ce commerce nocturne étale désormais ses tentacules dans de lieux publics de l’ile et notamment à l’entre de l’ile Nord.
Le « vente du sexe » démarre à 22 heures …
Sur place, un « coxeur » fait office d’entremetteur et gère l’affaire en toute discrétion dans le terrain vaste où les femmes vendent du poisson et des crevettes, le matin. Le trafic démarre très tôt. « Parfois, à 21heures 30 minutes », selon une source qui tient une boutique à côté. L’homme présente aux gars la belle à s’offrir et les laisse discuter tranquillement du prix et des modalités. Un taxi est garé juste à quelques mètres. Après discussions avec clients, le véhicule est plein et démarre. Destination, des hôtels de la langue ou à Pikine, dans des chambres de passe. La bonne affaire se répète demain et se répète ... la mafia est bien organisée.
3500 FCFA « rek » et le compte est bon …
Aux périodes de vaches maigres et de la grande conjoncture économique qui secouent les loyers, les négociations ne se compliquent pas. Les filles réclament 3000 francs CFA et 500 FCFA pour le transport, d’autres frais sont réclamés pour l’hébergement de jouissance. Mais avant de partir, le taxi devra être plein. L’affluence est grande et les clients qui ont découvert ce tuyau facile se massifient de jour en jour. Cette situation nécessite une mobilisation des autorités et des actions musclées pour démanteler ce réseau qui, sans intervention, risque encore de gagner du terrain.
NDARINFO.COM
Le « vente du sexe » démarre à 22 heures …
Sur place, un « coxeur » fait office d’entremetteur et gère l’affaire en toute discrétion dans le terrain vaste où les femmes vendent du poisson et des crevettes, le matin. Le trafic démarre très tôt. « Parfois, à 21heures 30 minutes », selon une source qui tient une boutique à côté. L’homme présente aux gars la belle à s’offrir et les laisse discuter tranquillement du prix et des modalités. Un taxi est garé juste à quelques mètres. Après discussions avec clients, le véhicule est plein et démarre. Destination, des hôtels de la langue ou à Pikine, dans des chambres de passe. La bonne affaire se répète demain et se répète ... la mafia est bien organisée.
3500 FCFA « rek » et le compte est bon …
Aux périodes de vaches maigres et de la grande conjoncture économique qui secouent les loyers, les négociations ne se compliquent pas. Les filles réclament 3000 francs CFA et 500 FCFA pour le transport, d’autres frais sont réclamés pour l’hébergement de jouissance. Mais avant de partir, le taxi devra être plein. L’affluence est grande et les clients qui ont découvert ce tuyau facile se massifient de jour en jour. Cette situation nécessite une mobilisation des autorités et des actions musclées pour démanteler ce réseau qui, sans intervention, risque encore de gagner du terrain.
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