Les parties prenantes au Projet de Relèvement d’Urgence et de Résilience à Saint-Louis (SERRP) ont échangé mardi sur les modalités d’achèvement de cette initiative du Gouvernement du Sénégal soutenue par la Banque mondiale. La rencontre présidée par le Gouverneur de région Al Hassan SALL, a permis d’apprécier le niveau d’exécution du projet et de dégager une feuille de route.
« Les 40 % des logements définitifs ont été livrés aux bénéficiaires », a renseigné le docteur Mamouth DIOP, directeur général de l’ADM, chargé de la mise en œuvre de ce projet visant à rréduire la vulnérabilité aux risques côtiers des populations de la Langue de Barbarie et de renforcer la planification de la résilience côtière à Saint-Louis.
« Des lenteurs ont été notées dans l’exécution du projet, occasionnées par la suspension d’une entreprise qui peinait à achever les travaux. Le marché a été résilié et relancé après l’approbation de la Direction Centrale des Marchés Publics (DCMP). Cela nous a fait perdre huit à dix mois », a-t-il expliqué.
« Pour cette première étape, 439 logements sont prévus. Les populations ont commencé à occuper les villas », a laissé entendre M. DIOP.
Poursuivant, il a signalé que « toutes les commodités liées à la vie humaine ont été prévues ». Il s’agit de la réalisation d’infrastructures communautaires dont un collège, une école primaire, un jardin d’enfants, un poste de santé et d’un marché.
« Les 40 % des logements définitifs ont été livrés aux bénéficiaires », a renseigné le docteur Mamouth DIOP, directeur général de l’ADM, chargé de la mise en œuvre de ce projet visant à rréduire la vulnérabilité aux risques côtiers des populations de la Langue de Barbarie et de renforcer la planification de la résilience côtière à Saint-Louis.
« Des lenteurs ont été notées dans l’exécution du projet, occasionnées par la suspension d’une entreprise qui peinait à achever les travaux. Le marché a été résilié et relancé après l’approbation de la Direction Centrale des Marchés Publics (DCMP). Cela nous a fait perdre huit à dix mois », a-t-il expliqué.
« Pour cette première étape, 439 logements sont prévus. Les populations ont commencé à occuper les villas », a laissé entendre M. DIOP.
Poursuivant, il a signalé que « toutes les commodités liées à la vie humaine ont été prévues ». Il s’agit de la réalisation d’infrastructures communautaires dont un collège, une école primaire, un jardin d’enfants, un poste de santé et d’un marché.