« Les politiques publiques sont des visions mises en action. Beaucoup de paramètres participent à la réussite de ces projections. Mais, sans archives, la réussite ne sera jamais totale », a déclaré hier mercredi le Professeur Mbaye THIAM, historien, archiviste et ancien directeur de L'École de bibliothécaires, archivistes et documentalistes (EBAD).
« Les archives sont plus que des documents de recherche. Leur vocation première est de servir à la gestion quotidienne. Au fur à mesure que l’on travaille dans les bureaux, on produit dans archives qui participent de la gestion au quotidien des politiques publiques », a-t-il ajouté.
Le porte-parole du recteur de l’Université Cheikh Anta DIOP d’indiquer que « si on a une bonne politique de production, de diffusion et de conservation et de traitement, les documents servent à garantir la performance et la transparences administratives et toutes les qualités que l’on résument sous la formule de bonne gouvernance ».
Le professeur THIAM s’exprimait en marge d’une conférence qu’il tenait sur « La place des archives dans les politiques publiques des États Africains : cas du Sénégal ». Une activité organisée dans le cadre de la 7e édition de la Journée internationale des Archives à Saint-Louis, organisée par le Centre de Documentation et des Archives (CDA) de L'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS).
À travers cette initiative, le CDA « vise à faire comprendre aux acteurs invités et à l’opinion publique les enjeux liés à la préservation et à la diffusion des archives », a noté son directeur Babacar DIONG. « La préservation des archives et leur protection - sont gages d’une citoyenneté participative et d’une mémoire collective réappropriée et transmise continuellement de générations en générations », a-t-il affirmé
« L’intérêt est de réunir des spécialistes pour élargir la communication, discuter des questions d’études sur les sources dans l’espace des Archives, vulgariser les connaissances et des expériences contenues dans les plateformes électroniques du CDA », a assuré M. DIONG.
« Les archives sont plus que des documents de recherche. Leur vocation première est de servir à la gestion quotidienne. Au fur à mesure que l’on travaille dans les bureaux, on produit dans archives qui participent de la gestion au quotidien des politiques publiques », a-t-il ajouté.
Le porte-parole du recteur de l’Université Cheikh Anta DIOP d’indiquer que « si on a une bonne politique de production, de diffusion et de conservation et de traitement, les documents servent à garantir la performance et la transparences administratives et toutes les qualités que l’on résument sous la formule de bonne gouvernance ».
Le professeur THIAM s’exprimait en marge d’une conférence qu’il tenait sur « La place des archives dans les politiques publiques des États Africains : cas du Sénégal ». Une activité organisée dans le cadre de la 7e édition de la Journée internationale des Archives à Saint-Louis, organisée par le Centre de Documentation et des Archives (CDA) de L'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS).
À travers cette initiative, le CDA « vise à faire comprendre aux acteurs invités et à l’opinion publique les enjeux liés à la préservation et à la diffusion des archives », a noté son directeur Babacar DIONG. « La préservation des archives et leur protection - sont gages d’une citoyenneté participative et d’une mémoire collective réappropriée et transmise continuellement de générations en générations », a-t-il affirmé
« L’intérêt est de réunir des spécialistes pour élargir la communication, discuter des questions d’études sur les sources dans l’espace des Archives, vulgariser les connaissances et des expériences contenues dans les plateformes électroniques du CDA », a assuré M. DIONG.