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L’ouverture d’un Certificat d’aptitude professionnelle (CAP) en machinisme agricole va permettre au Lycée technique André Peytavin (LTAP) de Saint-Louis de participer au développement économique de la région, a déclaré son proviseur Momar Amar.
''Le lycée technique a mis en place un programme en relation avec les différentes entreprises installées dans la région'', a dit M. Amar, vendredi, à la fin d’un atelier de trois jours sur la vulgarisation de ce programme dont le contenu prendra en compte les besoins locaux.
''Le ministère de l’Enseignement technique nous a autorisés à écrire un programme soutenu par l’ONG Oxfam pour former des techniciens agricoles qui vont aider à la modernisation de ce secteur'', a-t-il souligné.
Il a averti que la vallée ''risque d’être un cimetière de machines agricoles à l’absence de spécialistes en maintenances pour prendre en charge toutes ces machines destinées à motoriser l’agriculture'', signalant le programme d’équipement de l’agriculture annoncé par le nouveau régime avec l’arrivée de 1.000 tracteurs en provenance d’Inde.
''Ces jeunes de niveau inférieur par rapport au Brevet de technicien supérieur (BTS) seront opérationnels dés leur sortie'', a encore dit le proviseur qui s'est félicité de l’implication des sociétés dans la formulation du contenu de cette formation.
Il s'agit notamment de la Société d'aménagement et d'exploitation du Delta (SAED), de la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS) et de TSE, a fait observer Momar Amar. Il a signalé que ces jeunes pourraient aussi travailler dans les entreprises familiales et contribuer à booster la production.
''Ce nouveau programme validé par le ministère aura une dimension nationale'', a déclaré M. Amar qui souhaiterait aussi pour coller aux besoins de la région disposée avoir des partenaires pour former des jeunes orientés vers la pêche qui utilise des moteurs hors bord.
APS
''Le lycée technique a mis en place un programme en relation avec les différentes entreprises installées dans la région'', a dit M. Amar, vendredi, à la fin d’un atelier de trois jours sur la vulgarisation de ce programme dont le contenu prendra en compte les besoins locaux.
''Le ministère de l’Enseignement technique nous a autorisés à écrire un programme soutenu par l’ONG Oxfam pour former des techniciens agricoles qui vont aider à la modernisation de ce secteur'', a-t-il souligné.
Il a averti que la vallée ''risque d’être un cimetière de machines agricoles à l’absence de spécialistes en maintenances pour prendre en charge toutes ces machines destinées à motoriser l’agriculture'', signalant le programme d’équipement de l’agriculture annoncé par le nouveau régime avec l’arrivée de 1.000 tracteurs en provenance d’Inde.
''Ces jeunes de niveau inférieur par rapport au Brevet de technicien supérieur (BTS) seront opérationnels dés leur sortie'', a encore dit le proviseur qui s'est félicité de l’implication des sociétés dans la formulation du contenu de cette formation.
Il s'agit notamment de la Société d'aménagement et d'exploitation du Delta (SAED), de la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS) et de TSE, a fait observer Momar Amar. Il a signalé que ces jeunes pourraient aussi travailler dans les entreprises familiales et contribuer à booster la production.
''Ce nouveau programme validé par le ministère aura une dimension nationale'', a déclaré M. Amar qui souhaiterait aussi pour coller aux besoins de la région disposée avoir des partenaires pour former des jeunes orientés vers la pêche qui utilise des moteurs hors bord.
APS
