La phase 2 du Projet d’appui au pastoralisme au Sahel (PRAPS2-SN) a été officiellement lancée ce jeudi à Saint-Louis (nord), à l’occasion d’un atelier de deux jours ouvert par le gouverneur de région, Alioune Badara Samb.
Cette seconde phase est appuyée par la Banque mondiale, satisfaite des résultats de la première phase, pour un montant de 45 millions de dollars, a précisé son coordonnateur, Mamadou Ousseynou Sakho.
"Si on y ajoute la contribution de l’Etat, on avoisine les 52 millions de dollars pour une durée de six ans", a-t-il indiqué.
Il a présenté les différentes composantes du projet qui visent essentielles le développement de l’élevage.
La lutte contre les maladies animales et le contrôle des médicaments vétérinaires avec des descentes fréquentes dans les marchés hebdomadaires font partie des actions arrêtées.
"Le choix de mener ce combat se justifie en raison des étroites relations entre les maladies animales et humaines", a-t-il expliqué, avant de préciser que le projet s’assigne, entre autres objectifs, de vacciner 36 millions de petits ruminants.
Il compte amener les éleveurs à mieux gérer l’espace et les ressources pastorales.
Le projet prévoit la construction de 10 nouveaux forages et cinq mini-forages ainsi que la réhabilitation de cinq autres ouvrages hydrauliques.
Il intervient dans cinq régions et dix départements de la zone sylvopastorale, précisément dans les départements de Dagana et Podor (région de Saint-Louis), Matam, Kanel et Ranérou (région de Matam), Linguère et Louga (région de Louga).
La phase 2 du Projet d’appui au pastoralisme au Sahel interviendra aussi dans le bassin arachidier, à travers les départements de Koungheul (région de Kaffrine), Bakel et Koumpentoum (région de Tambacounda)
APS
Cette seconde phase est appuyée par la Banque mondiale, satisfaite des résultats de la première phase, pour un montant de 45 millions de dollars, a précisé son coordonnateur, Mamadou Ousseynou Sakho.
"Si on y ajoute la contribution de l’Etat, on avoisine les 52 millions de dollars pour une durée de six ans", a-t-il indiqué.
Il a présenté les différentes composantes du projet qui visent essentielles le développement de l’élevage.
La lutte contre les maladies animales et le contrôle des médicaments vétérinaires avec des descentes fréquentes dans les marchés hebdomadaires font partie des actions arrêtées.
"Le choix de mener ce combat se justifie en raison des étroites relations entre les maladies animales et humaines", a-t-il expliqué, avant de préciser que le projet s’assigne, entre autres objectifs, de vacciner 36 millions de petits ruminants.
Il compte amener les éleveurs à mieux gérer l’espace et les ressources pastorales.
Le projet prévoit la construction de 10 nouveaux forages et cinq mini-forages ainsi que la réhabilitation de cinq autres ouvrages hydrauliques.
Il intervient dans cinq régions et dix départements de la zone sylvopastorale, précisément dans les départements de Dagana et Podor (région de Saint-Louis), Matam, Kanel et Ranérou (région de Matam), Linguère et Louga (région de Louga).
La phase 2 du Projet d’appui au pastoralisme au Sahel interviendra aussi dans le bassin arachidier, à travers les départements de Koungheul (région de Kaffrine), Bakel et Koumpentoum (région de Tambacounda)
APS