L'école franco-arabe de Sor Daga (un quartier de Saint-Louis) est confrontée à des problèmes multiples dont son état de délabrement avancé qui met élèves et enseignants dans des conditions de travail difficiles, à constaté APS.
Dans cet établissement qui abrite à la fois une primaire, un collège et un lycée, "les salles de classe ne sont pas en nombre suffisant", a confié à l'APS le directeur Adama Fall qui préside à ses destinées depuis sa création en 2002.
"Nous sommes obligés de céder une classe au collège. Ce qui fait que nous sommes obligés de contracter deux cours dans une classe" a-t-il dit, vendredi, en marge de la cérémonie de réception d'un bloc sanitaire construit par la mairie qui a aussi doté cette école de 323 élèves d'un mur.
Les plus à plaindre sont les collégiens et lycéens qui ne disposent pas de suffisamment de classes et squattes celles du primaire.
"Le principal du collège, tout comme les professeurs, ne disposent pas de bureaux. Et pour les heures creuses, nous flânons dans la cours de l'établissement", a déclaré Babacar Diom, professeur de science de la vie et de la terre (SVT).
"Il y'a aussi que les élèves éprouvent des difficultés à assimiler certains cours en français et ont des dispositions plus prononcées en arabe, a dit M Diom, regrettant "l'absence de programme national pour le franco-arabe".
"Les élèves doivent apprendre l'arabe, l'enseignement religieux et les autres matières. Ce qui leur donne une masse d'efforts à fournir pour réussir, a-t-il fait observer.
"Pour le lycée, qui compte pour le moment une Seconde et une Première, les professeurs manquent et ceux du collège les suppléent cette défaillance", a-t-il souligné, appelant les autorités à résoudre ce problème.
L'école manque d'électricité et d'eau mais la mairie qui a construit un mur ainsi qu'un bloc sanitaire promet de régler ce problème dans les plus bref délais avec l'appui de son partenaire de la ville de Lille.
APS
Dans cet établissement qui abrite à la fois une primaire, un collège et un lycée, "les salles de classe ne sont pas en nombre suffisant", a confié à l'APS le directeur Adama Fall qui préside à ses destinées depuis sa création en 2002.
"Nous sommes obligés de céder une classe au collège. Ce qui fait que nous sommes obligés de contracter deux cours dans une classe" a-t-il dit, vendredi, en marge de la cérémonie de réception d'un bloc sanitaire construit par la mairie qui a aussi doté cette école de 323 élèves d'un mur.
Les plus à plaindre sont les collégiens et lycéens qui ne disposent pas de suffisamment de classes et squattes celles du primaire.
"Le principal du collège, tout comme les professeurs, ne disposent pas de bureaux. Et pour les heures creuses, nous flânons dans la cours de l'établissement", a déclaré Babacar Diom, professeur de science de la vie et de la terre (SVT).
"Il y'a aussi que les élèves éprouvent des difficultés à assimiler certains cours en français et ont des dispositions plus prononcées en arabe, a dit M Diom, regrettant "l'absence de programme national pour le franco-arabe".
"Les élèves doivent apprendre l'arabe, l'enseignement religieux et les autres matières. Ce qui leur donne une masse d'efforts à fournir pour réussir, a-t-il fait observer.
"Pour le lycée, qui compte pour le moment une Seconde et une Première, les professeurs manquent et ceux du collège les suppléent cette défaillance", a-t-il souligné, appelant les autorités à résoudre ce problème.
L'école manque d'électricité et d'eau mais la mairie qui a construit un mur ainsi qu'un bloc sanitaire promet de régler ce problème dans les plus bref délais avec l'appui de son partenaire de la ville de Lille.
APS