Les étudiants de l’Unité de formation et de recherches des Sciences de l'éducation, de la formation et du sport (UFR SEFS), de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, réclament le règlement de la moitié de leurs arriérés de bourses, seule perspective capable, selon eux, de sauver leur année scolaire.
''Nous demandons aux autorités ministériels de nous aider à disposer de nos quatre mois d'arriérés de bourse sur les sept qu’elles nous doivent, pour pouvoir sauver l'année'', a déclaré à l'APS Bassirou Sy, porte-parole des élèves-professeurs, accompagné de certains de ses camarades.
Les examens sont prévus en décembre pour cette première promotion de cette UFR dont les étudiants sont répartis entre Saint-Louis et Louga. Ils avaient démarré les cours en avril dernier.
Se félicitant de leurs conditions de travail et de l’engagement de leurs professeurs, ces élèves-professeurs veulent sauver cette année. Mais, ‘’nous sommes confrontés à beaucoup de problèmes sociaux’’, a déclaré M. Sy.
‘’Certains sont trainés devant la justice pour des arriérés de paiement de leur logement à Louga tout comme à Saint-Louis’’, a expliqué le porte-parole de ces étudiants éloignés de leurs régions d’origine pour des raisons liées à la poursuite de leurs études.
‘’Le seul argument qu’on nous brandit, c’est celui de manque de liquidités au Trésor, mais cela ne nous satisfait pas’’, affirme Bassirou Sy, selon qui, les étudiants concernés n’excluent pas de recourir, le cas échéant, à d’autres méthodes pour se faire entendre.
Cette nouvelle UFR, dont les pensionnaires sont au nombre de 155, pour la première promotion, est destinée à former des professeurs de collège dans trois sections : math-sport, math-physique-chimie et math-sciences de la vie et de la terre, pour les trois sections logées à Saint-Louis.
A Louga, ils sont 106 élèves-professeurs dans deux sections (français et anglais)
APS
''Nous demandons aux autorités ministériels de nous aider à disposer de nos quatre mois d'arriérés de bourse sur les sept qu’elles nous doivent, pour pouvoir sauver l'année'', a déclaré à l'APS Bassirou Sy, porte-parole des élèves-professeurs, accompagné de certains de ses camarades.
Les examens sont prévus en décembre pour cette première promotion de cette UFR dont les étudiants sont répartis entre Saint-Louis et Louga. Ils avaient démarré les cours en avril dernier.
Se félicitant de leurs conditions de travail et de l’engagement de leurs professeurs, ces élèves-professeurs veulent sauver cette année. Mais, ‘’nous sommes confrontés à beaucoup de problèmes sociaux’’, a déclaré M. Sy.
‘’Certains sont trainés devant la justice pour des arriérés de paiement de leur logement à Louga tout comme à Saint-Louis’’, a expliqué le porte-parole de ces étudiants éloignés de leurs régions d’origine pour des raisons liées à la poursuite de leurs études.
‘’Le seul argument qu’on nous brandit, c’est celui de manque de liquidités au Trésor, mais cela ne nous satisfait pas’’, affirme Bassirou Sy, selon qui, les étudiants concernés n’excluent pas de recourir, le cas échéant, à d’autres méthodes pour se faire entendre.
Cette nouvelle UFR, dont les pensionnaires sont au nombre de 155, pour la première promotion, est destinée à former des professeurs de collège dans trois sections : math-sport, math-physique-chimie et math-sciences de la vie et de la terre, pour les trois sections logées à Saint-Louis.
A Louga, ils sont 106 élèves-professeurs dans deux sections (français et anglais)
APS