Le corps d’un soldat du nom de Mamadou Mboup Ngom, membre de la fanfare du 2e bataillon de la musique principale des forces armées de Saint-Louis, a été découvert à Saint-Louis.
Son père Ousmane Ngom demande l’ouverture d’une enquête. « Le lieutenant Coundoul du premier bataillon de Dakar au camp Leclerc m’a appelé mercredi, dans la matinée, pour me dire que mon fils est mort noyé à Saint-Louis. Je lui ai répondu que tel ne pouvait être le cas parce que mon fils savait nager. Quelques minutes après, il m’a rappelé pour me dire qu’il ne s’agissait pas d’une noyade, mais d’une mort suspecte.
Quand je suis allé à Saint-Louis, j’ai constaté des blessures sur le corps et sur la tête. L’autopsie a révélé qu’il est mort d’un traumatisme crânien. Il a été tué avant d’être jeté dans la mer, selon l’autopsie», raconte le père du soldat dans les colonnes de «La Tribune».
Selon lui, le jour du drame, son fils était en service au stade jusqu’à 23heures. Il est rentré au camp, c’est par la suite qu’il est mort. «Je demande qu’une enquête soit ouverte pour élucider cette affaire. Je réclame une enquête parce que les conditions de sa mort sont douteuses. Je le fais pour la postérité. Je veux que les jeunes puissent s’engager dans l’armée en ayant la conscience tranquille. Il est décédé lundi, on m’a informé mercredi matin. Donc il y a anguille sous roche», ajoute-t-il.
Son père Ousmane Ngom demande l’ouverture d’une enquête. « Le lieutenant Coundoul du premier bataillon de Dakar au camp Leclerc m’a appelé mercredi, dans la matinée, pour me dire que mon fils est mort noyé à Saint-Louis. Je lui ai répondu que tel ne pouvait être le cas parce que mon fils savait nager. Quelques minutes après, il m’a rappelé pour me dire qu’il ne s’agissait pas d’une noyade, mais d’une mort suspecte.
Quand je suis allé à Saint-Louis, j’ai constaté des blessures sur le corps et sur la tête. L’autopsie a révélé qu’il est mort d’un traumatisme crânien. Il a été tué avant d’être jeté dans la mer, selon l’autopsie», raconte le père du soldat dans les colonnes de «La Tribune».
Selon lui, le jour du drame, son fils était en service au stade jusqu’à 23heures. Il est rentré au camp, c’est par la suite qu’il est mort. «Je demande qu’une enquête soit ouverte pour élucider cette affaire. Je réclame une enquête parce que les conditions de sa mort sont douteuses. Je le fais pour la postérité. Je veux que les jeunes puissent s’engager dans l’armée en ayant la conscience tranquille. Il est décédé lundi, on m’a informé mercredi matin. Donc il y a anguille sous roche», ajoute-t-il.