Cette situation est la résultante d’un manque de communication d’une part avec les populations sur la nécessité de l’implantation de sites relais dans des points stratégiques, et d’autre part de l’absence d’un dialogue franc, sincère et réaliste entre la municipalité et les GIE CETOM. A cela s’ajoute, l’urgence de multiplier l’installation des bacs à ordures dans les 33 quartiers de la ville, et le déploiement d’activités de sensibilisation pour un changement de comportement des habitants.
Saint-Louis ne disposant, pour le moment, que d’un seul camion pouvant transportant les ordures vers le Centre d’enfouissement technique de GANDON, il faut dire l’usage des sites de relais est indispensable. Seulement, une vision préventive exige, toute de suite et maintenant, un projet de mise aux normes de sites identifiés pour protéger les populations contre d’éventuels problèmes de santé publique.
La collaboration des populations est indispensable pour révéler les défis. Pourquoi ne faut-il pas faire les Agents de Sécurité de Proximité ou la brigade d’hygiène sur les berges et dans les zones où les bacs sont implantés pour punir ceux qui déversent les ordures par terre ou dans le fleuve ?
Les GIE CETOM qui doivent gagner leur autonomie par l’identification de modèles économiques plus rentables, doivent davantage professionnaliser leurs activités, compte tenu des limites et de l’aspect rudimentaire de la traction animale utilisée.
La crise dans ce secteur appelle les différents acteurs à s’asseoir dans le cadre d’assises de l’assainissement, au-delà de toutes considérations politiques, pour sauver l’image de la ville en décadence et promouvoir son essor touristique.
NDARINFO.COM
Saint-Louis ne disposant, pour le moment, que d’un seul camion pouvant transportant les ordures vers le Centre d’enfouissement technique de GANDON, il faut dire l’usage des sites de relais est indispensable. Seulement, une vision préventive exige, toute de suite et maintenant, un projet de mise aux normes de sites identifiés pour protéger les populations contre d’éventuels problèmes de santé publique.
La collaboration des populations est indispensable pour révéler les défis. Pourquoi ne faut-il pas faire les Agents de Sécurité de Proximité ou la brigade d’hygiène sur les berges et dans les zones où les bacs sont implantés pour punir ceux qui déversent les ordures par terre ou dans le fleuve ?
Les GIE CETOM qui doivent gagner leur autonomie par l’identification de modèles économiques plus rentables, doivent davantage professionnaliser leurs activités, compte tenu des limites et de l’aspect rudimentaire de la traction animale utilisée.
La crise dans ce secteur appelle les différents acteurs à s’asseoir dans le cadre d’assises de l’assainissement, au-delà de toutes considérations politiques, pour sauver l’image de la ville en décadence et promouvoir son essor touristique.
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