Le phénomène prend de plus en plus d’ampleur au point de susciter de vives craintes de la part des riverains de quai Bacre Waly GUEYE.
La nuit, ce coin de NDAR devient le parc d’attraction des vendeuses du sexe qui y déroulent, sans complexe, leurs tractations commerciales.
« La plupart ne parlent que le français et l’anglais. Ces filles viennent de la sous-région », renseigne un témoin qui habite à quelques encablures de ce lieu devenu très prisé. « Certaines, en connivence avec un chauffeur, remplissent un taxi de clients et s’envolent. Le véhicule ramène ensuite la fille qui recommence les négociations avec d'autres candidats », dit-il.
Avec le boom de ce commerce dévergondé, les parents s’inquiètent sur une éventuelle contamination de ce commerce facile sur les jeunes. Ils interpellent ainsi les autorités à agir pour freiner ce danger en permanente propagation.
NDARINFO.COM
La nuit, ce coin de NDAR devient le parc d’attraction des vendeuses du sexe qui y déroulent, sans complexe, leurs tractations commerciales.
« La plupart ne parlent que le français et l’anglais. Ces filles viennent de la sous-région », renseigne un témoin qui habite à quelques encablures de ce lieu devenu très prisé. « Certaines, en connivence avec un chauffeur, remplissent un taxi de clients et s’envolent. Le véhicule ramène ensuite la fille qui recommence les négociations avec d'autres candidats », dit-il.
Avec le boom de ce commerce dévergondé, les parents s’inquiètent sur une éventuelle contamination de ce commerce facile sur les jeunes. Ils interpellent ainsi les autorités à agir pour freiner ce danger en permanente propagation.
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