« Le PDS, conscient de son droit, continuera à se battre pour exiger une amnistie totale à Karim WADE. C’est sa vocation de défendre et de se mettre en orbite son futur chef de l’opposition », a dit la responsable libérale Me Fatima FALL.
« Nous ne pouvons que nous réjouir de sa libération. En lieu et place d’une amnistie incontestable, le président Macky SALL a proposé une grâce qui est difficile à justifier même si l’on évoque des raisons humanitaires », a-t-elle déclaré.
L’huissier de justice note, toutefois, que le Président SALL « a montré encore une fois que le dialogue et la réconciliation sont les socles de la Nation », en prenant la décision de gracier le fils de l’ancien Président Abdoulaye WADE.
« Reconnaitre ses erreurs, c’est faire preuve de grandeur », a-t-elle rappelé dans une déclaration transmise mardi à Ndarinfo.com.
« La libération de Karim WADE, arrêté, embastillé, emprisonné et violenté était devenue une demande sociale au Sénégal. Un présumé coupable sur une longue li8ste de gestionnaires depuis 1960, année de notre indépendance, c’est quand même difficile à admettre », ajoute-t-elle.
Poursuivant, elle indique que « malgré le résultat maigrelet de la collecte des ressources présumées de Karim WADE, malgré les injonctions du groupe de travail du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU sur la détention arbitraire, il était difficile de tenir une position aussi inconfortable pendant 6 ans, le temps de laisser passer les prochaines élections ».
NDARINFO.COM
« Nous ne pouvons que nous réjouir de sa libération. En lieu et place d’une amnistie incontestable, le président Macky SALL a proposé une grâce qui est difficile à justifier même si l’on évoque des raisons humanitaires », a-t-elle déclaré.
L’huissier de justice note, toutefois, que le Président SALL « a montré encore une fois que le dialogue et la réconciliation sont les socles de la Nation », en prenant la décision de gracier le fils de l’ancien Président Abdoulaye WADE.
« Reconnaitre ses erreurs, c’est faire preuve de grandeur », a-t-elle rappelé dans une déclaration transmise mardi à Ndarinfo.com.
« La libération de Karim WADE, arrêté, embastillé, emprisonné et violenté était devenue une demande sociale au Sénégal. Un présumé coupable sur une longue li8ste de gestionnaires depuis 1960, année de notre indépendance, c’est quand même difficile à admettre », ajoute-t-elle.
Poursuivant, elle indique que « malgré le résultat maigrelet de la collecte des ressources présumées de Karim WADE, malgré les injonctions du groupe de travail du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU sur la détention arbitraire, il était difficile de tenir une position aussi inconfortable pendant 6 ans, le temps de laisser passer les prochaines élections ».
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