Les responsables du Comité Régional des Enseignantes pour la Promotion de la Scolarisation de Saint-Louis, regroupées au sein de la SCOFI, structure autonome et partenaire du ministère de l'Éducation Nationale et qui travaille pour le maintien et maintien et la réussite des filles à l'école, sont au regret de constater un certain nombre de manquements au niveau scolaire.
Il s'agit en effet du problème de la déperdition scolaire noté dans la localité de Pété, commune du département de Podor, en plus aussi des violences faites aux enfants. Ces manquements sont en passe de devenir un phénomène social qui interpelle tous les acteurs intervenant dans le respect des droits humains en général et en particulier dans celui de la protection des enfants qui sont des êtres vulnérables ayant besoin de l’assistance des adultes pour grandir.
"On nous a signalé beaucoup de cas de déperdition non seulement au niveau des filles mais aussi chez les garçons. Actuellement, les garçons quittent les établissements scolaires pour s'adonner à des petits travaux comme l'agriculture, l'élevage, le commerce au détriment de leur scolarité ou autres petits métiers pour gagner de l’argent facilement créant ainsi un taux d’abandon très élevé au niveau de cette frange de la population scolaire. Or, l'école est un creusé du savoir et les enfants doivent y rester et poursuivre leurs études pour devenir demain des responsables qui vont gérer ce pays particulièrement ce département de Podor et au-delà même la région de Saint-Louis", a dit Mme Marième Diagne Sow, Présidente régional du Comité des Enseignantes pour la Promotion de la Scolarisation de Saint-Louis.
Ceci a motivé la journée de sensibilisation et de plaidoyer pour inviter les autorités à encourager ces élèves pour embrasser les séries scientifiques et la formation professionnelle vu le problème d'insertion. Lors de cette journée, les responsables du CREPSCOFI ont offert à ces filles qui sont dans des situations de vulnérabilité et qui courent le risque d’abandonner très tôt leurs études, des kits scolaires et hygiéniques qui vont leurs permettre d’améliorer sensiblement leurs conditions de vie.
NdarINFO.COM
Il s'agit en effet du problème de la déperdition scolaire noté dans la localité de Pété, commune du département de Podor, en plus aussi des violences faites aux enfants. Ces manquements sont en passe de devenir un phénomène social qui interpelle tous les acteurs intervenant dans le respect des droits humains en général et en particulier dans celui de la protection des enfants qui sont des êtres vulnérables ayant besoin de l’assistance des adultes pour grandir.
"On nous a signalé beaucoup de cas de déperdition non seulement au niveau des filles mais aussi chez les garçons. Actuellement, les garçons quittent les établissements scolaires pour s'adonner à des petits travaux comme l'agriculture, l'élevage, le commerce au détriment de leur scolarité ou autres petits métiers pour gagner de l’argent facilement créant ainsi un taux d’abandon très élevé au niveau de cette frange de la population scolaire. Or, l'école est un creusé du savoir et les enfants doivent y rester et poursuivre leurs études pour devenir demain des responsables qui vont gérer ce pays particulièrement ce département de Podor et au-delà même la région de Saint-Louis", a dit Mme Marième Diagne Sow, Présidente régional du Comité des Enseignantes pour la Promotion de la Scolarisation de Saint-Louis.
Ceci a motivé la journée de sensibilisation et de plaidoyer pour inviter les autorités à encourager ces élèves pour embrasser les séries scientifiques et la formation professionnelle vu le problème d'insertion. Lors de cette journée, les responsables du CREPSCOFI ont offert à ces filles qui sont dans des situations de vulnérabilité et qui courent le risque d’abandonner très tôt leurs études, des kits scolaires et hygiéniques qui vont leurs permettre d’améliorer sensiblement leurs conditions de vie.
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