
Une nouvelle étape franchie par l’association Jardin d’espoir, créée en 2012, dans sa lutte contre la maltraitance et l’errance des enfants talibés. Le nouveau centre dont la construction a été faite grâce au soutien de BUWOG Group en collaboration avec l'ONG AMINA et l'Ambassade d'Autriche à Dakar, a été inauguré en présence des autorités politiques, de représentants de services techniques déconcentrés, des partenaires autrichiens et de dignitaires du quartier. La contribution de la Fondation Sonatel a permis de l’équiper.
Il dispose notamment d´une cuisine, d´une salle de soins primaires, de deux salles de cours d´alphabétisation, d´une salle de formation, d´une salle polyvalente et d´une grande cour où les enfants peuvent jouer au babyfoot, au tennis de table ou au basketball.
Un téléviseur est installé dans la salle polyvalente, leur permettant de regarder des films éducatifs ou de sensibilisation, mais aussi de suivre, à l’instar des autres enfants, des matchs de football, etc.
« Ce qui leur évitera d´aller voir ces matchs dans la rue à partir des fenêtres des maisons du quartier », renseigne Mamadou NDIAYE, LE président de Jardin d'Espoir.
« L´Association souhaite continuer à financer les services de base (suppléments alimentaires et soins médicaux), mais souhaite également poursuivre une stratégie de développement plus durable. Cela peut se faire principalement par l'éducation et la formation », a-t-il ajouté.
L'objectif de ce projet est donc d'alphabétiser les enfants d'âge scolaire primaire (6 à 12 ans) et d'offrir divers ateliers de formation aux enfants plus âgés (12 à 16 ans).
« L'Association veut aussi offrir aux talibés la possibilité d´être initiés à l’outil informatique pour combattre l´analphabétisme numérique », a ajouté M. NDIAYE en précisant que cette dynamique « intègre les orientations du plan de développement psychosocioéducatif de l’enfant et permet aussi de susciter la curiosité de l’enfant et à espérer avoir accès aux métiers du siècle ».
>>> Les réactions des parties prenantes
Il dispose notamment d´une cuisine, d´une salle de soins primaires, de deux salles de cours d´alphabétisation, d´une salle de formation, d´une salle polyvalente et d´une grande cour où les enfants peuvent jouer au babyfoot, au tennis de table ou au basketball.
Un téléviseur est installé dans la salle polyvalente, leur permettant de regarder des films éducatifs ou de sensibilisation, mais aussi de suivre, à l’instar des autres enfants, des matchs de football, etc.
« Ce qui leur évitera d´aller voir ces matchs dans la rue à partir des fenêtres des maisons du quartier », renseigne Mamadou NDIAYE, LE président de Jardin d'Espoir.
« L´Association souhaite continuer à financer les services de base (suppléments alimentaires et soins médicaux), mais souhaite également poursuivre une stratégie de développement plus durable. Cela peut se faire principalement par l'éducation et la formation », a-t-il ajouté.
L'objectif de ce projet est donc d'alphabétiser les enfants d'âge scolaire primaire (6 à 12 ans) et d'offrir divers ateliers de formation aux enfants plus âgés (12 à 16 ans).
« L'Association veut aussi offrir aux talibés la possibilité d´être initiés à l’outil informatique pour combattre l´analphabétisme numérique », a ajouté M. NDIAYE en précisant que cette dynamique « intègre les orientations du plan de développement psychosocioéducatif de l’enfant et permet aussi de susciter la curiosité de l’enfant et à espérer avoir accès aux métiers du siècle ».
>>> Les réactions des parties prenantes
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