Des jeunes, proches de l’ancien maire de Saint-Louis se sont érigés en bouclier, pour combattre ‘’toute initiative politique qui tente d’usurper’’ le nom de l’ancien président du Conseil économique et social.
La cible, le Cercle des Amis du Président (CAP) Ousmane Masseck Ndiaye, un mouvement porté sur les fonds baptismaux par des compagnons du défunt maire.
Pour eux, ce mouvement n’est guidé que par des intérêts politiques et ne détient nullement la légitimité de revendiquer l’héritage politique légué par l’ancien maire libéral.
‘’Ce Cap Ousmane, n’a aucune légitimité pour perpétuer la vision de Masseck Ndiaye’’, lâchent-ils en révélant qu’Alioune Sarr, le coordonnateur de cette nouvelle structure, a déjà rallié l’APR.
‘’Il est très tôt d’utiliser le nom d’Ousmane Masseck pour se frayer un chemin dans la politique et se positionner face aux échéances électorales. Cela ne fait même pas 4 mois qu’il a quitté ce monde et des gens fomentent des stratégies malsaines derrière son dos’’, dénonce El Hadj Kane qui informe qu’une assemblé générale sera bientôt tenue pour ‘’déjouer ces tentatives’’.
‘’Nous ne pouvons pas concevoir qu’après le départ de Masseck et compte tenu de tout ce qu’il a fait pour nous, que nous laissions des gens troquer son nom, le salir au travers de combines politiques’’, soutient Mamadou Ngom Seck.
‘’Des personnes guidées par des ambitions politiques qui ne cherchent qu’à assouvir leurs besoins personnels. La famille de Masseck pense plutôt à se retrouver et se consolider ses liens au lieu de marchander à gauche et à droite‘’, ajoute M. Seck.
‘’Nous voulons que cela cesse. Que ceux qui aiment Masseck l’accompagnent par des prières et participent à la perpétuation de ses visions pour Saint-Louis’’, suggère-t-il.
EN outre, ces jeunes ont salué, la décision du Conseil municipal de baptiser les 9 km de la digue de Ndiolofene, au nom de l’ancien maire en précisant toutefois que ce dernier mérite plus, ‘’compte tenu de tous les réalisations qu’il a effectuées’’.
‘’C’est grâce à Ousmane Masseck que j’ai obtenu un emploi, comme tant d’autres jeunes de cette ville. Ousmane nous disait : si je quitte la politique sans satisfaire vos besoins, j’aurais failli à ma mission’’, raconte Ngom Seck.
Cheikh S.SEYE
La cible, le Cercle des Amis du Président (CAP) Ousmane Masseck Ndiaye, un mouvement porté sur les fonds baptismaux par des compagnons du défunt maire.
Pour eux, ce mouvement n’est guidé que par des intérêts politiques et ne détient nullement la légitimité de revendiquer l’héritage politique légué par l’ancien maire libéral.
‘’Ce Cap Ousmane, n’a aucune légitimité pour perpétuer la vision de Masseck Ndiaye’’, lâchent-ils en révélant qu’Alioune Sarr, le coordonnateur de cette nouvelle structure, a déjà rallié l’APR.
‘’Il est très tôt d’utiliser le nom d’Ousmane Masseck pour se frayer un chemin dans la politique et se positionner face aux échéances électorales. Cela ne fait même pas 4 mois qu’il a quitté ce monde et des gens fomentent des stratégies malsaines derrière son dos’’, dénonce El Hadj Kane qui informe qu’une assemblé générale sera bientôt tenue pour ‘’déjouer ces tentatives’’.
‘’Nous ne pouvons pas concevoir qu’après le départ de Masseck et compte tenu de tout ce qu’il a fait pour nous, que nous laissions des gens troquer son nom, le salir au travers de combines politiques’’, soutient Mamadou Ngom Seck.
‘’Des personnes guidées par des ambitions politiques qui ne cherchent qu’à assouvir leurs besoins personnels. La famille de Masseck pense plutôt à se retrouver et se consolider ses liens au lieu de marchander à gauche et à droite‘’, ajoute M. Seck.
‘’Nous voulons que cela cesse. Que ceux qui aiment Masseck l’accompagnent par des prières et participent à la perpétuation de ses visions pour Saint-Louis’’, suggère-t-il.
EN outre, ces jeunes ont salué, la décision du Conseil municipal de baptiser les 9 km de la digue de Ndiolofene, au nom de l’ancien maire en précisant toutefois que ce dernier mérite plus, ‘’compte tenu de tous les réalisations qu’il a effectuées’’.
‘’C’est grâce à Ousmane Masseck que j’ai obtenu un emploi, comme tant d’autres jeunes de cette ville. Ousmane nous disait : si je quitte la politique sans satisfaire vos besoins, j’aurais failli à ma mission’’, raconte Ngom Seck.
Cheikh S.SEYE