Deux sur les quatre jurys du lycée Cheikhou Oumar Foutiyou Tall (ex-Faidherbe) pour la deuxième session du baccalauréat affichent un résultat nul et seulement un (1) et onze 11 admissibles pour les séries S1 et L’1.
Cinq (5) et sept (7) candidat ont été déclaré admissibles respectivement dans les deux autres jurys S2 et L2, a affirmé le président de jury Amsatta Ndiaye s’affairant à rendre les notes aux candidats un peu après la proclamation des résultats.
Sept (7) devront repasser pour l’oral de contrôle dans la série S2 et aucun candidat n’est admissible pour la L2, indique M. Ndiaye profitant de l’occasion pour donner quelques conseils aux élèves en vue de l’oral de contrôle et à consoler les recalés.
Ces ‘’mauvais’’ résultats s’expliquent, selon lui, par plusieurs facteurs notamment les conditions dans lesquelles ces examens se sont passés pour des jeunes venus de loin surtout de Podor. Il indexe aussi les perturbations récurrentes enregistrées l’année dernière mais aussi un problème de niveau pour beaucoup d’élèves.
‘’Ce n’était pas évident pour des jeunes de rester concentrer pendant douze mois’’, a estimé M. Ndiaye.
Cheikh Saad Bou SEYE
Cinq (5) et sept (7) candidat ont été déclaré admissibles respectivement dans les deux autres jurys S2 et L2, a affirmé le président de jury Amsatta Ndiaye s’affairant à rendre les notes aux candidats un peu après la proclamation des résultats.
Sept (7) devront repasser pour l’oral de contrôle dans la série S2 et aucun candidat n’est admissible pour la L2, indique M. Ndiaye profitant de l’occasion pour donner quelques conseils aux élèves en vue de l’oral de contrôle et à consoler les recalés.
Ces ‘’mauvais’’ résultats s’expliquent, selon lui, par plusieurs facteurs notamment les conditions dans lesquelles ces examens se sont passés pour des jeunes venus de loin surtout de Podor. Il indexe aussi les perturbations récurrentes enregistrées l’année dernière mais aussi un problème de niveau pour beaucoup d’élèves.
‘’Ce n’était pas évident pour des jeunes de rester concentrer pendant douze mois’’, a estimé M. Ndiaye.
Cheikh Saad Bou SEYE