Des conseillers de la Commune de Saint-Louis ont pris part vendredi à une réunion de coordination du projet « Diaspora Développement Éducation Migration » qui dans le cadre de son programme « Réinsertion socio-économique des femmes migrantes sénégalaises de retour non volontaire de Côte d’Ivoire », prépare un plan d’action à Saint-Louis.
« Cette activité crée les conditions d’un dialogue politique avec les collectivités locales sur le retour non volontaire des migrants. Une dimension renforcement des capacités pour intégrer la variable migration dans les plans locaux de développement. Enfin, elle permet de prendre en charge les démarches méthodologiques d’intégration de ces variables pour assurer à la question de la migration, une dimension plus durable, organisée et structurée », a déclaré Badara NDIAYE, le président du DIADEM qui s’entretenait avec Ndarinfo.com, en marge de cette rencontre.
« Le travail consiste à identifier les enfants qui sont en gage de scolarisation qui sont venus sans état civil, leur donner la possibilité d’avoir ces papiers en collaboration avec la mairie de Saint-Louis », a expliqué le président de ce projet soutenu par la CEDEAO et l’Espagne pour un montant global de 58 mille euros.
Les représentants de la Commune, sensibles au sort de ces femmes ont manifesté leur engagement à soutenir cette initiative. Pour Amadou SY DIONGUE conseiller municipal, la Mairie doit prendre en compte la question de la migration non volontaire de manière sérieuse, indiquant par ailleurs qu’un bureau de la migration doit être installé dans cette institution.
Les éclaircissement de Badara NDIAYE, président du DIADEM, en vidéo
« Cette activité crée les conditions d’un dialogue politique avec les collectivités locales sur le retour non volontaire des migrants. Une dimension renforcement des capacités pour intégrer la variable migration dans les plans locaux de développement. Enfin, elle permet de prendre en charge les démarches méthodologiques d’intégration de ces variables pour assurer à la question de la migration, une dimension plus durable, organisée et structurée », a déclaré Badara NDIAYE, le président du DIADEM qui s’entretenait avec Ndarinfo.com, en marge de cette rencontre.
« Le travail consiste à identifier les enfants qui sont en gage de scolarisation qui sont venus sans état civil, leur donner la possibilité d’avoir ces papiers en collaboration avec la mairie de Saint-Louis », a expliqué le président de ce projet soutenu par la CEDEAO et l’Espagne pour un montant global de 58 mille euros.
Les représentants de la Commune, sensibles au sort de ces femmes ont manifesté leur engagement à soutenir cette initiative. Pour Amadou SY DIONGUE conseiller municipal, la Mairie doit prendre en compte la question de la migration non volontaire de manière sérieuse, indiquant par ailleurs qu’un bureau de la migration doit être installé dans cette institution.
Les éclaircissement de Badara NDIAYE, président du DIADEM, en vidéo