Le professeur d’anglais dans un lycée de Saint-Louis, Abdou Ngoné Diouf, a finalement écopé d’un mois de prison ferme, alors que le ministère public avait requis six mois. Il a été reconnu coupable de menaces, dénonciation calomnieuse et atteinte aux bonnes moeurs.
La partie civile Pierre Sonar Diouf avait expliqué, lors de l’enquête, que depuis 2012, il n’avait cessé de faire l’objet de persécution et de menaces de la part d’un correspondant anonyme. D’après sa déposition, cette personne l’appelait au téléphone et lui envoyait des messages en lui proposant des rapports sexuels. Exploitant les renseignements fournis par le plaignant, les policiers ont alors arrêté le professeur d’anglais Abdou Ngoné Diouf.
Si, très vite, le mis en cause a clamé son innocence, il a toutefois reconnu être le propriétaire des numéros à partir desquels étaient envoyés les messages obscènes reçus par la partie civile. Des propos qu’il a réitérés devant le juge lors de son procès. Le procureur avait donc requis à son encontre un an dont six mois ferme. Mais, finalement, le professeur d’anglais a été condamné à une peine de deux mois dont un ferme.
EnQuête
La partie civile Pierre Sonar Diouf avait expliqué, lors de l’enquête, que depuis 2012, il n’avait cessé de faire l’objet de persécution et de menaces de la part d’un correspondant anonyme. D’après sa déposition, cette personne l’appelait au téléphone et lui envoyait des messages en lui proposant des rapports sexuels. Exploitant les renseignements fournis par le plaignant, les policiers ont alors arrêté le professeur d’anglais Abdou Ngoné Diouf.
Si, très vite, le mis en cause a clamé son innocence, il a toutefois reconnu être le propriétaire des numéros à partir desquels étaient envoyés les messages obscènes reçus par la partie civile. Des propos qu’il a réitérés devant le juge lors de son procès. Le procureur avait donc requis à son encontre un an dont six mois ferme. Mais, finalement, le professeur d’anglais a été condamné à une peine de deux mois dont un ferme.
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