En marge de cette rencontre avec les journalistes, Khadim Mbacké DIATTA, le président de séance du Cesl a dénoncé plusieurs problèmes qui, selon lui, constituent le lot quotidien des camarades à savoir " les mauvaises conditions de travail, l’augmentation du coût de l’inscription, la montée en puissance de l’université, les reformes appliquées à tors et à travers sans mesure d’accompagnement"
De même, les difficultés liées à l’augmentation du taux de la bourse pour les étudiants qui ont réussi avec succès leurs examens de l’année dernière, le retard dans la subvention des mémoires de recherche des étudiants en master I et II sont passés sous silence.
Et pour couronner le tout, les bourses de ce mois-ci ne sont pas encore payées. Pire, une partie des étudiants peine à percevoir leurs allocations d’étude depuis le début de l’année.
En proie à toutes ces contraintes, le coordonnateur des étudiants lance un appel à tout le peuple sénégalais afin qu’il prenne conscience des dégradations qui secouent l’université Gaston Berger de Saint-Louis jadis connue sous le sceau de la sérénité et de l’excellence.
Pour le moment, les cours se passent normalement, mais la coordination demande au ministre de l’Enseignement supérieur à l’occurrence, M. Mary Teuw NIANE de prendre toutes ses dispositions. Même si les étudiants tentent tant bien que mal de sauver l’année en cours, l’idée d’une éventuelle grève des à l’université de Saint-Louis n’est pas occultée.
Wely Mbow (Stagiaire)
De même, les difficultés liées à l’augmentation du taux de la bourse pour les étudiants qui ont réussi avec succès leurs examens de l’année dernière, le retard dans la subvention des mémoires de recherche des étudiants en master I et II sont passés sous silence.
Et pour couronner le tout, les bourses de ce mois-ci ne sont pas encore payées. Pire, une partie des étudiants peine à percevoir leurs allocations d’étude depuis le début de l’année.
En proie à toutes ces contraintes, le coordonnateur des étudiants lance un appel à tout le peuple sénégalais afin qu’il prenne conscience des dégradations qui secouent l’université Gaston Berger de Saint-Louis jadis connue sous le sceau de la sérénité et de l’excellence.
Pour le moment, les cours se passent normalement, mais la coordination demande au ministre de l’Enseignement supérieur à l’occurrence, M. Mary Teuw NIANE de prendre toutes ses dispositions. Même si les étudiants tentent tant bien que mal de sauver l’année en cours, l’idée d’une éventuelle grève des à l’université de Saint-Louis n’est pas occultée.
Wely Mbow (Stagiaire)