L’ultimatum est donné ! « Si vous ne signez pas le protocole d’accord avant ce mercredi 15 janvier 2014 à 18 heures, l’Université Gaston Berger (Ugb) va être fermée ».
C’est ce qui ressort de la note adressée aux membres de la représentation syndicale par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane.
Note lue lors de leur rencontre, de ce lundi, avec le Recteur et les directeurs des Unités de formation et de recherche (UFR).
Le ministre, qui avait signalé que le temps des négociations est révolu, semble prêt à recevoir les étudiants sur le terrain de bataille en martelant que l’université sera fermée, ce soir, à 18 heures, si toutefois ces derniers campent sur leurs positions.
Cette notification a, en effet, suffi pour que ses destinataires convoquent une assemblée générale d’urgence le jour même. De 21 heures, les échanges ont duré plus de cinq (5) tours d’horloge.
Mais, malgré ces menaces venant de l’autorité de tutelle, la plupart des étudiants ont réitéré leur engagement à aller jusqu’au bout de la lutte.
«Ce sont des babioles ça ! Ils ne font que parler, ils n’osent même pas fermer l’université. Et si tel est le cas, nous n’allons pas rester les bras croisés», a pesté Mouhamed Kabîr qui invite ses camarades à « attendre de voir ce que les autorités vont faire ».
(Source : Libération)
C’est ce qui ressort de la note adressée aux membres de la représentation syndicale par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane.
Note lue lors de leur rencontre, de ce lundi, avec le Recteur et les directeurs des Unités de formation et de recherche (UFR).
Le ministre, qui avait signalé que le temps des négociations est révolu, semble prêt à recevoir les étudiants sur le terrain de bataille en martelant que l’université sera fermée, ce soir, à 18 heures, si toutefois ces derniers campent sur leurs positions.
Cette notification a, en effet, suffi pour que ses destinataires convoquent une assemblée générale d’urgence le jour même. De 21 heures, les échanges ont duré plus de cinq (5) tours d’horloge.
Mais, malgré ces menaces venant de l’autorité de tutelle, la plupart des étudiants ont réitéré leur engagement à aller jusqu’au bout de la lutte.
«Ce sont des babioles ça ! Ils ne font que parler, ils n’osent même pas fermer l’université. Et si tel est le cas, nous n’allons pas rester les bras croisés», a pesté Mouhamed Kabîr qui invite ses camarades à « attendre de voir ce que les autorités vont faire ».
(Source : Libération)