Le Président Macky Sall a reçu ce mercredi 24 janvier 2024, le collectif des candidats recalés à la présidentielle du 25 février prochain. Ils ont exposé au chef de l'État ce qu’ils considèrent comme étant des manquement grave constatés dans les parrainages. Les candidats recalés ont également demandé la mise à disposition du fichier électoral à tous les candidats. Ils ont évoqué la question des détenus politique et l’affaire de Bassirou Diomaye Faye.
« Nous avons exposé au chef de l’Etat garant du respect des lois et règlements les manquements suivants : plus de 500 mille de nos compatriotes qui ont été déclarés non identifiés sur le fichier général des électeurs. Nous avons considéré que c’est un manquement grave parce qu’il remet en cause le droit constitutionnel », a déclaré Aliou Sarr, porte-parole du collectif au sortir de l’audience.
Qui ajoute : « Nous avons aussi exposé au chef de l’Etat neuf (9) candidats à l’l’élection présidentielle qui ont fait le tour du Sénégal et collecté plus de 500 mille parrains, eux aussi, tous leurs parrains ont été rejetés tout simplement les clés USB n’ont pas pu être exploités ».
Le collectif des candidats recalés a également demandé la « mise à disposition du fichier électoral à l’ensemble des candidats ». « Nous avons également parlé du cas de Karim Wade, qui en 2019 a été éliminé pour une raison X et les différentes raisons pour laquelle il a été éliminé en 2024. Nous pensons que cela mérite clarification », a rappelé Alioune Sarr au micro de la chaîne nationale RTS1.
Toutefois, il indique que le collectif ne demande aucune faveur. Ce que nous demandons, dit-il, c’est le « respect de la loi et le respect des droits des Sénégalaises et des Sénégalais. 49 candidats en raison de 50 mille parrains par candidats c’est plusieurs millions de nos compatriotes qui sont représentés par ces différents candidats et il n’est pas question quelconque institution sacrifie ses droits. Je pense que chaque Sénégalaise et Sénégalais aujourd’hui a le devoir de se défendre lorsqu’il considère que ces droits sont bafoués ».
La question des détendus a également été soulevée.
« Et sur cela, le chef de l’Etat a été très attentif. Nous demandons à ces personnes concernées, de demander à leurs avocats, d’initier des procédures de demande de liberté provisoire pour qu’ils puissent retourner auprès des siens », dit le candidat recalé.
L’affaire Diomaye Faye aussi a été évoquée dans les discussions. Car, dit-il, étant un « Sénégalais dont la candidature a été validée par le Conseil constitutionnel, sa place n’est pas en prison. Il doit être libéré pour qu’il puisse battre campagne comme tous les candidats », précise l’ancien ministre du Commerce.
Avec PRESSAFRIK
« Nous avons exposé au chef de l’Etat garant du respect des lois et règlements les manquements suivants : plus de 500 mille de nos compatriotes qui ont été déclarés non identifiés sur le fichier général des électeurs. Nous avons considéré que c’est un manquement grave parce qu’il remet en cause le droit constitutionnel », a déclaré Aliou Sarr, porte-parole du collectif au sortir de l’audience.
Qui ajoute : « Nous avons aussi exposé au chef de l’Etat neuf (9) candidats à l’l’élection présidentielle qui ont fait le tour du Sénégal et collecté plus de 500 mille parrains, eux aussi, tous leurs parrains ont été rejetés tout simplement les clés USB n’ont pas pu être exploités ».
Le collectif des candidats recalés a également demandé la « mise à disposition du fichier électoral à l’ensemble des candidats ». « Nous avons également parlé du cas de Karim Wade, qui en 2019 a été éliminé pour une raison X et les différentes raisons pour laquelle il a été éliminé en 2024. Nous pensons que cela mérite clarification », a rappelé Alioune Sarr au micro de la chaîne nationale RTS1.
Toutefois, il indique que le collectif ne demande aucune faveur. Ce que nous demandons, dit-il, c’est le « respect de la loi et le respect des droits des Sénégalaises et des Sénégalais. 49 candidats en raison de 50 mille parrains par candidats c’est plusieurs millions de nos compatriotes qui sont représentés par ces différents candidats et il n’est pas question quelconque institution sacrifie ses droits. Je pense que chaque Sénégalaise et Sénégalais aujourd’hui a le devoir de se défendre lorsqu’il considère que ces droits sont bafoués ».
La question des détendus a également été soulevée.
« Et sur cela, le chef de l’Etat a été très attentif. Nous demandons à ces personnes concernées, de demander à leurs avocats, d’initier des procédures de demande de liberté provisoire pour qu’ils puissent retourner auprès des siens », dit le candidat recalé.
L’affaire Diomaye Faye aussi a été évoquée dans les discussions. Car, dit-il, étant un « Sénégalais dont la candidature a été validée par le Conseil constitutionnel, sa place n’est pas en prison. Il doit être libéré pour qu’il puisse battre campagne comme tous les candidats », précise l’ancien ministre du Commerce.
Avec PRESSAFRIK