Après le retrait du projet de loi visant la modification de l’article 87 de la Constitution, l’Assemblée nationale va se pencher, dans quelque jour sur l’examen d’autres projets de lois. Il s’agit notamment de celui n°10/2023 portant révision de la Constitution et de celui n°11/2023 modifiant la loi n°65-61 du 21 juillet 1965 portant code de procédure pénale. Ainsi visant à inscrire dans la loi les accords trouvés lors du dialogue national du mois dernier, les textes qui vont être votés permettront à l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, et à Karim Wade, véritable leader du Pds, d’être éligibles à la prochaine élection présidentielle, Thierno Alassane Sall le leader de la république des valeurs a dit niet à cette réforme.
Cependant il a à ce point jugé que tout le monde est d’accord que la révision du code électoral a été faite pour des cas particuliers. Or, on dit que la règle de droit doit être générale et impersonnelle. Mais dans ce cas, ça permet de régler certains cas tout en excluant le cas du leader du Pastef, Ousmane Sonko.
‘’L’autre aspect des choses, je trouve que certains délits ou crimes qui, une fois constatés ou actés, devraient exclure définitivement les personnes concernées à la gestion des ressources publiques’’, a ajouté le leader de la République des Valeurs. C’est de ce même sillage qu’il a posé la question à savoir : ‘’Pensez-vous normal qu’on puisse confier les deniers de la République, la gestion de ce pays à des personnes qui ont été déjà condamnées ou qui portent de fortes présomptions de détournement de deniers publics ?’’. Et d’estimer que Karim Wade et Khalifa Sall ne devraient pas être réintégrés dans le jeu politique.
Par ailleurs, a-t-il insisté, ‘’on est contre l’utilisation de la justice pour sélectionner qui va participer à l’élection présidentielle. C’est pourquoi on était contre la volonté du gouvernement de les exclure. On a condamné le fait qu’ils soient les seuls à comparaître devant les tribunaux. Mais, on ne peut pas confier notre pays à des gens qui ont été condamnés pour détournement de deniers publics’’.
REWMI
Cependant il a à ce point jugé que tout le monde est d’accord que la révision du code électoral a été faite pour des cas particuliers. Or, on dit que la règle de droit doit être générale et impersonnelle. Mais dans ce cas, ça permet de régler certains cas tout en excluant le cas du leader du Pastef, Ousmane Sonko.
‘’L’autre aspect des choses, je trouve que certains délits ou crimes qui, une fois constatés ou actés, devraient exclure définitivement les personnes concernées à la gestion des ressources publiques’’, a ajouté le leader de la République des Valeurs. C’est de ce même sillage qu’il a posé la question à savoir : ‘’Pensez-vous normal qu’on puisse confier les deniers de la République, la gestion de ce pays à des personnes qui ont été déjà condamnées ou qui portent de fortes présomptions de détournement de deniers publics ?’’. Et d’estimer que Karim Wade et Khalifa Sall ne devraient pas être réintégrés dans le jeu politique.
Par ailleurs, a-t-il insisté, ‘’on est contre l’utilisation de la justice pour sélectionner qui va participer à l’élection présidentielle. C’est pourquoi on était contre la volonté du gouvernement de les exclure. On a condamné le fait qu’ils soient les seuls à comparaître devant les tribunaux. Mais, on ne peut pas confier notre pays à des gens qui ont été condamnés pour détournement de deniers publics’’.
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