Le premier président de la Cour des comptes, Mamadou Faye, a remis vendredi au président Macky Sall les rapports 2015, 2016 et 2017. Ces trois documents aux contenus volcaniques révèlent de terribles bizarreries dans la gestion des affaires publiques. Sindiély Wade, Aly Ngouille Ndiaye, Aliou Sall et Cheikh Kanté, sont entre autres cités.
Le rapport révèle un excès de gaspillage lors du Festival mondial des Arts nègres (Fesman) en 2010 sous Abdoulaye Wade. Selon les chiffres du Rapport 2016 de la Cour des comptes, Sindiély Wade est accusée d’achat de rideaux à 467 millions FCfa suivant 9 factures toutes datées du 8 novembre 2010 ainsi que l’achat d’une toile M2 à 209 millions FCfa. Il est en ainsi par exemple de l’achat auprès des fournisseurs étrangers d’un lot de montres, de sacs, de foulards et autres gadgets à 69 millions FCfa.
Le document fait était d’un manque de traçabilité des opérations budgétaires et des anomalies dans la prise des actes de nomination des administrateurs de crédit au ministère de l’Industrie et des Mines au titre des gestions 2011 à 2015 sous Aly Ngouille Ndiaye.
A la direction des Centres des œuvres universitaires de Dakar (Coud), l'utilisation incontrôlée des subventions qui ont atteint entre 2013 et 2015, une hausse 5 millions de FCFA, ont aussi poussé la Cour à inviter la direction, à travers la comptabilité, à faire preuve de transparence dans l'observation du respect de la réglementation sur la comptabilité.
D'ailleurs, en l’absence de toute documentation relative au contrôle régulier de la comptabilité des matières, la Cour n’est pas en mesure d’attester la mise en œuvre de la directive qui consiste à codifier les matières du COUD, à faire la lumière sur les matières retrouvées sur place et aussi, à procéder régulièrement au contrôle de la comptabilité de manière régulière
Le rapport révèle un excès de gaspillage lors du Festival mondial des Arts nègres (Fesman) en 2010 sous Abdoulaye Wade. Selon les chiffres du Rapport 2016 de la Cour des comptes, Sindiély Wade est accusée d’achat de rideaux à 467 millions FCfa suivant 9 factures toutes datées du 8 novembre 2010 ainsi que l’achat d’une toile M2 à 209 millions FCfa. Il est en ainsi par exemple de l’achat auprès des fournisseurs étrangers d’un lot de montres, de sacs, de foulards et autres gadgets à 69 millions FCfa.
Le document fait était d’un manque de traçabilité des opérations budgétaires et des anomalies dans la prise des actes de nomination des administrateurs de crédit au ministère de l’Industrie et des Mines au titre des gestions 2011 à 2015 sous Aly Ngouille Ndiaye.
A la direction des Centres des œuvres universitaires de Dakar (Coud), l'utilisation incontrôlée des subventions qui ont atteint entre 2013 et 2015, une hausse 5 millions de FCFA, ont aussi poussé la Cour à inviter la direction, à travers la comptabilité, à faire preuve de transparence dans l'observation du respect de la réglementation sur la comptabilité.
D'ailleurs, en l’absence de toute documentation relative au contrôle régulier de la comptabilité des matières, la Cour n’est pas en mesure d’attester la mise en œuvre de la directive qui consiste à codifier les matières du COUD, à faire la lumière sur les matières retrouvées sur place et aussi, à procéder régulièrement au contrôle de la comptabilité de manière régulière