La ville de Saint-Louis (Nord) est celle où les gens regardent le plus la télévision et écoutent le plus la radio au Sénégal, selon une étude publiée jeudi à Dakar par les cabinets Synchronix et Afrique Communication.
Selon cette étude sur les médias en 2015 au Sénégal, la ville de Ziguinchor (Sud) est celle qui présente le plus faible taux d’audience télévisuelle et celle de Kaolack (Centre), celle où on écoute le moins la radio.
Au Sénégal, "les forts taux de pénétration de la télé se trouvent entre 19h et 21h (et) s’expliquent par des programmes de télénovelas, les grandes éditions du journal télévisé et des téléfilms sénégalais que diffusent certaines chaînes nationales", a expliqué Latiphe Seck, directeur général de Synchronix.
L’étude rapporte également que "la radio connaît ses heures de meilleure pénétration en début de matinée, le pic d’audience le plus élevé étant atteint entre 8h et 9h".
Cette enquête au cours de laquelle "1933 individus" ont été interrogés sur toute l’étendue du territoire, révèle que "91% des Sénégalais regardent la télévision, 52 % d’entre eux écoutent la radio et 35 % lisent la presse écrite".
APS
Selon cette étude sur les médias en 2015 au Sénégal, la ville de Ziguinchor (Sud) est celle qui présente le plus faible taux d’audience télévisuelle et celle de Kaolack (Centre), celle où on écoute le moins la radio.
Au Sénégal, "les forts taux de pénétration de la télé se trouvent entre 19h et 21h (et) s’expliquent par des programmes de télénovelas, les grandes éditions du journal télévisé et des téléfilms sénégalais que diffusent certaines chaînes nationales", a expliqué Latiphe Seck, directeur général de Synchronix.
L’étude rapporte également que "la radio connaît ses heures de meilleure pénétration en début de matinée, le pic d’audience le plus élevé étant atteint entre 8h et 9h".
Cette enquête au cours de laquelle "1933 individus" ont été interrogés sur toute l’étendue du territoire, révèle que "91% des Sénégalais regardent la télévision, 52 % d’entre eux écoutent la radio et 35 % lisent la presse écrite".
APS