Après la profanation des tombes, le fossoyeur Saer Gningue, jusque là en garde à vue au commissariat de police de Pikine, a été conduit ce mardi au cimetière municipal de Pikine, pour une reconstitution des faits.
Et ce dernier n’a pas manqué de faire des confidences sur les faits qui se sont produits. « Je suis épuisé commissaire, aidez-moi. J’ai reconnu avoir remis en l’état trois tombes, de grâce pardonnez-moi », a répété le mis en cause, durant la reconstitution des faits, rapporte Lobservateur.
« Vous n’avez pas le droit de tenir en otage tout un pays. Dites-nous la vérité, montrez-nous la 4e tombe où le corps de la vieille dame a été exhumé », lui a martelé le commissaire de la police de Pikine.
« Je sais que je suis démasqué, je vous demande pardon commissaire, ma famille est dans le désarroi », a répondu le fossoyeur, avant d’ajouter : « Ce n’est pas moi, c’est Niasse ».
Des aveux partiels qui n’auront pas aidé à élucider totalement la série de profanations selon Lobs. L’ouverture d’une information judiciaire semble être la voie la mieux indiquée pour élucider cette affaire dans sa globalité.
Seneweb
Et ce dernier n’a pas manqué de faire des confidences sur les faits qui se sont produits. « Je suis épuisé commissaire, aidez-moi. J’ai reconnu avoir remis en l’état trois tombes, de grâce pardonnez-moi », a répété le mis en cause, durant la reconstitution des faits, rapporte Lobservateur.
« Vous n’avez pas le droit de tenir en otage tout un pays. Dites-nous la vérité, montrez-nous la 4e tombe où le corps de la vieille dame a été exhumé », lui a martelé le commissaire de la police de Pikine.
« Je sais que je suis démasqué, je vous demande pardon commissaire, ma famille est dans le désarroi », a répondu le fossoyeur, avant d’ajouter : « Ce n’est pas moi, c’est Niasse ».
Des aveux partiels qui n’auront pas aidé à élucider totalement la série de profanations selon Lobs. L’ouverture d’une information judiciaire semble être la voie la mieux indiquée pour élucider cette affaire dans sa globalité.
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