Le président de la République Macky Sall s’est rendu lundi tard dans la soirée à Touba pour rencontrer le Khalif général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké. En se rendant dans la ville sainte, le chef de l'Etat avait un plan à soumettre au guide religieux qui selon certaines certaines ne l'auraient pas reçue.
Selon le journal Le Témoin, qui lui évoque ce mercredi cette supposée rencontre entre Macky Sall et Serigne Mountakha, révèle que le chef de l’Etat est prêt à renoncer au 3e mandat. Cependant, ce ne sera pas sans conditions.
En effet, Macky Sall souhaiterait mettre sur la balance cette décision de renoncer au 3e mandat lors du dialogue national et demander en contrepartie la prolongation de son présent mandat présidentiel de deux ans jusqu’à 2026. Ceci afin de lui permettre de remettre de l’ordre dans le pays et d’organiser des élections inclusives, paisibles et transparentes, informe le journal. Ce qui entraînerait de facto le report de l’élection présidentielle fixée au 25 février 2024.
Si les membres du Dialogue national approuvent ce report, ceci pourrait permettre de valider les candidatures de leaders de l’opposition tels que Khalifa Ababacar Sall, Karim Wade et Ousmane Sonko, tous frappés d’inéligibilité. Selon lui, ces conditions sont indispensables pour éviter que le pays ne sombre dans des violences inutiles alors que nous sommes en plein essor de l’exploitation de nos ressources pétrolières et gazières.
Selon le journal Le Témoin, qui lui évoque ce mercredi cette supposée rencontre entre Macky Sall et Serigne Mountakha, révèle que le chef de l’Etat est prêt à renoncer au 3e mandat. Cependant, ce ne sera pas sans conditions.
En effet, Macky Sall souhaiterait mettre sur la balance cette décision de renoncer au 3e mandat lors du dialogue national et demander en contrepartie la prolongation de son présent mandat présidentiel de deux ans jusqu’à 2026. Ceci afin de lui permettre de remettre de l’ordre dans le pays et d’organiser des élections inclusives, paisibles et transparentes, informe le journal. Ce qui entraînerait de facto le report de l’élection présidentielle fixée au 25 février 2024.
Si les membres du Dialogue national approuvent ce report, ceci pourrait permettre de valider les candidatures de leaders de l’opposition tels que Khalifa Ababacar Sall, Karim Wade et Ousmane Sonko, tous frappés d’inéligibilité. Selon lui, ces conditions sont indispensables pour éviter que le pays ne sombre dans des violences inutiles alors que nous sommes en plein essor de l’exploitation de nos ressources pétrolières et gazières.