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Présidentielle 2024 : les "dialogueurs" s'accordent sur la date du 02 juin

Mardi 27 Février 2024

La commission en charge de trouver une nouvelle date de l'élection présidentielle a, finalement, retenue "le 02 juin 2024", pour la tenue du scrutin  présidentiel, avance une source de Leral TV. C'est l'information principale ressortie, ce mardi du CICAD de Diamniadio.

Alors, le mandat du Président MackY Sall prenant fin le 02 avril prochain, le président de l'Assemblée nationale, Abdou Mame Diop va donc assurer l'intérim pour 60 jours. Ce sera, juste après la fin du mandat de monsieur Sall. Ainsi donc les candidats auront, en tout et pour tout, 8 semaines de campagne pour le  premier et deuxième tour. 

Dans le souci de faire participer tout le monde, la commission recommande la réouverture des dossiers des "recalés". Tout en précisant que les 19 restent toujours validés et que la chance sera donnée aux autres pour leur permettre de se rattraper.

 


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1.Posté par zarra le 28/02/2024 11:24
Le Président de la République décide de quitter le pouvoir le 2 avril (il n’a pas besoin de démissionner). Dans ce cas, le Président de l’Assemblée nationale, conformément à la procédure prévue par l’article 41, saisit le Conseil constitutionnel qui constate la vacance du pouvoir et l’installe pour qu’il assure l’intérim. Le processus électoral est repris avec le dépôt des candidatures et la tenue de l’élection en juin 2024. Cependant le Conseil constitutionnel pourrait créer une jurisprudence pour ordonner la poursuite du processus électoral avec les mêmes candidats.


2.Posté par zarra le 06/03/2024 10:56
Honte pour l'alliance Benno / PDS parti moribond pour ternir nos institutions par une crise provoquée. Le conseil constitutionnel a fini de valider, le president Sall a eu la maladresse de vouloir contourner la constitution pour instaurer sa volonté d'une non élection suite aux données des sondages qui donnent perdant son candidat dès le premier tour. Karim WADE a été accusé de détournement de deniers publics pour une somme estimée à 135 milliards. Comment une personne hautaine qui tenait un avion privé, exempt de contrôle, détenant' un super ministère , d'une somme colossale sans aucune justification, cet homme qui méritait la prison, se targue de revenir pour nous diriger. Certes, nous ne sommes pas amnésiques et rien ne sera comme avant. Ce monsieur doit de facto rembourser, mais aussi rester davantage en prison. Nous encourageons le conseil constitutionnel de pouvoir dire le droit dans toute sa rigueur; de meme ,annuler la volonté hypocrite d'un homme de vouloir arrêter le processus par des accusations fallacieuses.

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