Cette percée majeure dans la lutte contre l'infertilité a permis à cette femme d'accoucher en septembre d'un garçon en bonne santé pesant 1,775 kg, après 31 semaines de gestation, précise la revue. La mère, dont l'identité n'a pas été révélée, était née sans utérus en raison d'une affection génétique. L'utérus transplanté provenait d'une femme de 61 ans, ménopausée depuis sept ans lorsqu'elle a été opérée.
La mère est sortie de l'hôpital trois jours après l'accouchement et le bébé a quitté l'unité néonatale dix jours après sa naissance. Tous les deux se portent bien, souligne la revue médicale.
Ce "succès est basé sur plus de dix ans de recherches intensives sur l'animal et d'entraînement chirurgical de notre équipe et il crée la possibilité de traiter bon nombre de jeunes femmes dans le monde qui souffrent d'infertilité utérine", explique dans la revue le professeur Mats Brännström, spécialiste de gynécologie obstétrique à l'université de Gothenburg, qui a conduit les recherches.
"De surcroît, nous avons démontré la faisabilité de la transplantation d'utérus d'une donneuse vivante, même lorsque cette dernière est ménopausée", note-t-il.
7sur7.be
La mère est sortie de l'hôpital trois jours après l'accouchement et le bébé a quitté l'unité néonatale dix jours après sa naissance. Tous les deux se portent bien, souligne la revue médicale.
Ce "succès est basé sur plus de dix ans de recherches intensives sur l'animal et d'entraînement chirurgical de notre équipe et il crée la possibilité de traiter bon nombre de jeunes femmes dans le monde qui souffrent d'infertilité utérine", explique dans la revue le professeur Mats Brännström, spécialiste de gynécologie obstétrique à l'université de Gothenburg, qui a conduit les recherches.
"De surcroît, nous avons démontré la faisabilité de la transplantation d'utérus d'une donneuse vivante, même lorsque cette dernière est ménopausée", note-t-il.
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