Le député et président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar à l'Assemblée nationale, Aymérou Gningue s'est prononcé sur l'information publiée dans nos colonnes sur un retrait de la loi sur le parrainage. "La loi constitutionnelle n'est pas retirée, mais le premier texte initial", précise-t-il, joint par Seneweb. "La loi sur le parrainage a deux aspects: l'aspect constitutionnel, une loi qui a été votée et promulguée par le président de la République. Et le deuxième aspect qui est l'applicabilité, c'est à dire comment on le traduit en mode opératoire dans le code électoral ".
Il poursuit : "Le gouvernement avait déjà envoyé un projet de loi pour modification du code électoral. Par parallélisme des formes, à partir du moment où une large concertation s'est fait avec les acteurs politiques sur la traduction de (…) dans le code électoral, c'était normal qu'il retire le premier texte qui est le texte initial qu'il nous a envoyé, pour nous envoyer un nouveau texte qui sera le texte sur lequel les acteurs sont en concertations aujourd'hui, sont tombés d'accord", explique encore Aymérou Gningue.
Qui précise : "La loi constitutionnelle n'est pas retirée, elle a été votée et promulguée. Mais tout cela doit se traduire dans la loi électorale, qui doit dire comment on collecte les signatures, quand on les collecte, qui les collecte, comment on les vérifie. C'est l'aspect mise en œuvre. Le gouvernement avait fait un premier texte qu'il avait déjà envoyé à l'assemblée nationale. C'est ce texte qu'il a retiré pour nous envoyer le texte qui est issu des concertations qui sont en cours".
SEENEWEB
Il poursuit : "Le gouvernement avait déjà envoyé un projet de loi pour modification du code électoral. Par parallélisme des formes, à partir du moment où une large concertation s'est fait avec les acteurs politiques sur la traduction de (…) dans le code électoral, c'était normal qu'il retire le premier texte qui est le texte initial qu'il nous a envoyé, pour nous envoyer un nouveau texte qui sera le texte sur lequel les acteurs sont en concertations aujourd'hui, sont tombés d'accord", explique encore Aymérou Gningue.
Qui précise : "La loi constitutionnelle n'est pas retirée, elle a été votée et promulguée. Mais tout cela doit se traduire dans la loi électorale, qui doit dire comment on collecte les signatures, quand on les collecte, qui les collecte, comment on les vérifie. C'est l'aspect mise en œuvre. Le gouvernement avait fait un premier texte qu'il avait déjà envoyé à l'assemblée nationale. C'est ce texte qu'il a retiré pour nous envoyer le texte qui est issu des concertations qui sont en cours".
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