Madame Sokhna NDIAYE MBAO, représentante du service départemental du développement communautaire, a magnifié l'action de la Caritas en indiquant que la politique de l'État u Sénégal sur la promotion de l'enfance cadre parfaitement avec la vision de cette structure.
« L'État est conscient du fait qu'il ne peut pas intervenir dans tous les secteurs. Il a besoin de partenaires financiers et sociaux pour atteindre ses objectifs. La Caritas qui a très bientôt compris que la protection de l'enfant est une action qui incombe à tous », s'est félicité Madame MBAO qui parlait au nom du Préfet de Saint-Louis, Alioune Badara SAMBE, à l'ouverture officielle de ce conclave, mardi à Saint-Louis.
Alex TENDENG, le directeur de Caritas/Saint-Louis a souhaité un excellent séjour aux hôtes maliens en relevant le sens particulier de ses échanges et les grandes similitudes des problématiques de la protection de l'enfance entre le Sénégal et le Mali. En espérant aboutir à des échanges riches et fructueux, il réitéré l'engagement de la Caritas de Saint-Louis à œuvrer en permanence au chevet des couches faibles et vulnérables.
Monsieur TENDENG, a salué, en outre, l'assistance de la Caritas/Espagne qui a permis d'assurer la bonne mise en œuvre du programme.
Des partages d'expériences et de bonnes pratiques des programmes « Action Enfants de Tous » de Ségou et Bamako et Claire Enfance de Saint-Louis sera au menu de cet atelier sous régional. La Caritas/Sénégal à travers le Claire Enfance donne l'occasion à ses homologues maliens de s'inspirer de ses actions de plaidoyer.
Monsieur Antoine SAGARA, chargé de programme au secrétariat national de Caritas Mali, a insisté sur les liens séculaires qui relient les peuples sénégalais et maliens en rappelant que les premiers missionnaires chrétiens provenaient de Saint-Louis. «L'église du Mali est née à partir de Saint-Louis. Nous formons un seul peuple », a-t-il dit, en ajoutant que cette visite dans la vieille ville est l'expression d'une reconnaissance ».
Monsieur SAGARA a plaidé, par ailleurs, pour « partenariat dynamique entre les deux structures », en mettant l'accent sur la noblesse du travail des protecteurs de l'enfance, évoquant plusieurs références bibliques.
« Nous ne pouvons pas rester insensibles aux conditions difficiles et inhumaines des enfants », a conclu Monsieur SAGARA.
Suivons, en vidéo, les explications de Madame Sokhna NDIAYE MBAO et de Monsieur Jean DZENE
« L'État est conscient du fait qu'il ne peut pas intervenir dans tous les secteurs. Il a besoin de partenaires financiers et sociaux pour atteindre ses objectifs. La Caritas qui a très bientôt compris que la protection de l'enfant est une action qui incombe à tous », s'est félicité Madame MBAO qui parlait au nom du Préfet de Saint-Louis, Alioune Badara SAMBE, à l'ouverture officielle de ce conclave, mardi à Saint-Louis.
Alex TENDENG, le directeur de Caritas/Saint-Louis a souhaité un excellent séjour aux hôtes maliens en relevant le sens particulier de ses échanges et les grandes similitudes des problématiques de la protection de l'enfance entre le Sénégal et le Mali. En espérant aboutir à des échanges riches et fructueux, il réitéré l'engagement de la Caritas de Saint-Louis à œuvrer en permanence au chevet des couches faibles et vulnérables.
Monsieur TENDENG, a salué, en outre, l'assistance de la Caritas/Espagne qui a permis d'assurer la bonne mise en œuvre du programme.
Des partages d'expériences et de bonnes pratiques des programmes « Action Enfants de Tous » de Ségou et Bamako et Claire Enfance de Saint-Louis sera au menu de cet atelier sous régional. La Caritas/Sénégal à travers le Claire Enfance donne l'occasion à ses homologues maliens de s'inspirer de ses actions de plaidoyer.
Monsieur Antoine SAGARA, chargé de programme au secrétariat national de Caritas Mali, a insisté sur les liens séculaires qui relient les peuples sénégalais et maliens en rappelant que les premiers missionnaires chrétiens provenaient de Saint-Louis. «L'église du Mali est née à partir de Saint-Louis. Nous formons un seul peuple », a-t-il dit, en ajoutant que cette visite dans la vieille ville est l'expression d'une reconnaissance ».
Monsieur SAGARA a plaidé, par ailleurs, pour « partenariat dynamique entre les deux structures », en mettant l'accent sur la noblesse du travail des protecteurs de l'enfance, évoquant plusieurs références bibliques.
« Nous ne pouvons pas rester insensibles aux conditions difficiles et inhumaines des enfants », a conclu Monsieur SAGARA.
Suivons, en vidéo, les explications de Madame Sokhna NDIAYE MBAO et de Monsieur Jean DZENE
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