Vide le matin, le soir cet espace est le lieu de regroupement d'une nuée de porstituées
Le proxénétisme galopant décrié par les habitants de l’ile se dénude au fil de contestations qui s’accumulent. Certains habitants du quartier, très attristés par le phénomène, promettent de monter un collectif pour saisir les autorités.
Plus qu’une simple prostitution clandestine, le réseau bien organisé évoqué par plusieurs sources s’est confirmé avec à la tête un caïd qui assure la fonction d’entremetteur entre les filles et les clients.
Le témoignage d’une dame qui habite non loin de là est ahurissant et montre l’ampleur du danger qui, dans quelques mois, risque dans se répandre dans d’autres coins de l’ile.
« Ils ont cassé toutes les lampes du coin pour maintenir le quartier dans le noir. Notre peur est tellement grande que nous n’osons plus envoyer quelqu’un acheter du pain à la boutique, le soir. Il faut passer à côté des banques pour être tranquille. Parce que là, il y a un gardien et de l’éclairage », raconte la dame.
« Un soir, ils se sont rudement chamaillés. Nous entendions les injures et insultes jusque dans nos chambres. Nous avions vraiment peur. Personne n’osait sortir », confie-t-elle.
« Les soulards occupent les passages et nous d’un regardent d’un air menaçant. Ces hommes sont devenus les maitres de l’ile. Dans l’ile nord, un bar polarise la populace de prostituées de la ville. Elles rodent toutes audacieuses aux environs et piquent les hommes. Il faut passer à côté pour sentir l’odeur infeste de l’urine laissée par les groupes d’hommes en attente », raconte cette habitante de l’entrée de l’Ile Nord.
NDARINFO.COM
Plus qu’une simple prostitution clandestine, le réseau bien organisé évoqué par plusieurs sources s’est confirmé avec à la tête un caïd qui assure la fonction d’entremetteur entre les filles et les clients.
Le témoignage d’une dame qui habite non loin de là est ahurissant et montre l’ampleur du danger qui, dans quelques mois, risque dans se répandre dans d’autres coins de l’ile.
« Ils ont cassé toutes les lampes du coin pour maintenir le quartier dans le noir. Notre peur est tellement grande que nous n’osons plus envoyer quelqu’un acheter du pain à la boutique, le soir. Il faut passer à côté des banques pour être tranquille. Parce que là, il y a un gardien et de l’éclairage », raconte la dame.
« Un soir, ils se sont rudement chamaillés. Nous entendions les injures et insultes jusque dans nos chambres. Nous avions vraiment peur. Personne n’osait sortir », confie-t-elle.
« Les soulards occupent les passages et nous d’un regardent d’un air menaçant. Ces hommes sont devenus les maitres de l’ile. Dans l’ile nord, un bar polarise la populace de prostituées de la ville. Elles rodent toutes audacieuses aux environs et piquent les hommes. Il faut passer à côté pour sentir l’odeur infeste de l’urine laissée par les groupes d’hommes en attente », raconte cette habitante de l’entrée de l’Ile Nord.
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Un haut lieu du proxénétisme. C'est ici où le jeune Paco a été poignardé par des bandits