En marge du point de presse, lundi, du Collectif “Citoyens pour l’Ethique et la Transparence, Demain la République”, le leader du parti Pastef en a profité pour larguer encore des missiles dans le “Macky”. Pour Ousmane Sonko, “Macky Sall est particulièrement violent dans sa manière de faire la politique”, avant de poursuivre qu’il “a toujours été violent”. “Rappelez-vous, son passage en force en 2002 pour voter sans pièce d’identité et même aux décisions de justice qui ont été piétinées pour voyager avec des gens qui sont frappés d’interdiction de sortie du territoire”, fait-il remarquer.
“Depuis que le président Macky Sall est à la tête de ce pays, il a une attitude très musclée contre toute l’opposition. Que ce soit l’opposition classique qu’on connaît au Sénégal qui a régulièrement fait l’objet d’attaques jusqu’aux procédures judiciaires partiales qu’on connaît au niveau de la Crei ou d’autres procédures. Evidemment, les attaques contre des partis comme Rewmi d’Idrissa Seck. La nouvelle opposition avec le Pastef comme l’instrumentalisation d’un certain nombre de choses pour écarter des adversaires politiques, la double nationalité notamment, ou la transposition de questions strictement privées sur le terrain politique. Tout ceci nous conforte à dire que le président Macky Sall étant tout à fait conscient des limites de sa gouvernance, d’un bilan presque inexistant, éprouve une peur bleue à voir émerger une opposition structurée et organisée dans ce pays”, explique M. Sonko.
A l’en croire, “c’est un président qui utilise l’appareil d’Etat à sa guise, quand ça l’arrange. Il peut piétiner toutes les lois”. Cependant, rappelle l’inspecteur des Impôts et Domaines qui fait les choux gras des journalistes, “nous sommes des adversaires politiques et ils sont prêts à fabriquer des choses qui n’existent pas pour simplement faire taire ou faire empêcher de parler le Peuple de révéler la véritable nature de sa gouvernance”.
Senego
“Depuis que le président Macky Sall est à la tête de ce pays, il a une attitude très musclée contre toute l’opposition. Que ce soit l’opposition classique qu’on connaît au Sénégal qui a régulièrement fait l’objet d’attaques jusqu’aux procédures judiciaires partiales qu’on connaît au niveau de la Crei ou d’autres procédures. Evidemment, les attaques contre des partis comme Rewmi d’Idrissa Seck. La nouvelle opposition avec le Pastef comme l’instrumentalisation d’un certain nombre de choses pour écarter des adversaires politiques, la double nationalité notamment, ou la transposition de questions strictement privées sur le terrain politique. Tout ceci nous conforte à dire que le président Macky Sall étant tout à fait conscient des limites de sa gouvernance, d’un bilan presque inexistant, éprouve une peur bleue à voir émerger une opposition structurée et organisée dans ce pays”, explique M. Sonko.
A l’en croire, “c’est un président qui utilise l’appareil d’Etat à sa guise, quand ça l’arrange. Il peut piétiner toutes les lois”. Cependant, rappelle l’inspecteur des Impôts et Domaines qui fait les choux gras des journalistes, “nous sommes des adversaires politiques et ils sont prêts à fabriquer des choses qui n’existent pas pour simplement faire taire ou faire empêcher de parler le Peuple de révéler la véritable nature de sa gouvernance”.
Senego