Il a regretté que ce dernier parvienne toutefois à présenter l’opposition comme "opposée aux intérêts occidentaux". "Nous n'avons rien contre la France", a-t-il renchéri, appelant Paris à "revoir sa position" vis-à-vis de l'opposition sénégalaise.
Sur RFI et France 24, Ousmane Sonko a fermement démenti les accusations de viol pour lesquelles il a été inculpé après une plainte déposée en février 2021.
Placé sous contrôle judiciaire en mars 2021, il se dit victime "d'un complot d’État" initié par des proches du président sénégalais. "Il n’a jamais été question de viol et il ne sera jamais question de viol me concernant", a répété l'opposant, qui a refusé de se soumettre à un test ADN.
Ousmane Sonko a jugé "malsaine" l'éventualité de voir Macky Sall briguer un troisième mandat. Il a estimé que le président "cracherait" ainsi sur la Constitution, celle-ci stipulant que nul ne peut effectuer plus de deux mandats successifs au sommet de l'État.
Pour Ousmane Sonko, la stratégie de Macky Sall consiste à se promouvoir sur la scène internationale comme le seul à pouvoir assurer la stabilité, instrumentalisant le "contexte régional extrêmement perturbé", et présentant son opposition comme "irresponsable" et "terroriste".
Abordant l'influence grandissante du groupe russe Wagner, aux dépens de la France, dans plusieurs pays voisins, comme le Mali, Ousmane Sonko a regretté de les voir célébrer "une logique de "remplacement plutôt que de souveraineté" : pour le principal opposant sénégalais, il n’est pas question de "remplacer un partenariat que l'on considérait défavorable par un nouveau qui peut l’être beaucoup plus".
A propos du dossier judiciaire concernant Monsieur Ousmane Sonko, la Direction de RFI tient à préciser que ses journalistes, à Dakar comme à Paris, ont toujours veillé à couvrir cette affaire avec la plus grande rigueur et avec un souci permanent de l’équilibre.
Sur RFI et France 24, Ousmane Sonko a fermement démenti les accusations de viol pour lesquelles il a été inculpé après une plainte déposée en février 2021.
Placé sous contrôle judiciaire en mars 2021, il se dit victime "d'un complot d’État" initié par des proches du président sénégalais. "Il n’a jamais été question de viol et il ne sera jamais question de viol me concernant", a répété l'opposant, qui a refusé de se soumettre à un test ADN.
Ousmane Sonko a jugé "malsaine" l'éventualité de voir Macky Sall briguer un troisième mandat. Il a estimé que le président "cracherait" ainsi sur la Constitution, celle-ci stipulant que nul ne peut effectuer plus de deux mandats successifs au sommet de l'État.
Pour Ousmane Sonko, la stratégie de Macky Sall consiste à se promouvoir sur la scène internationale comme le seul à pouvoir assurer la stabilité, instrumentalisant le "contexte régional extrêmement perturbé", et présentant son opposition comme "irresponsable" et "terroriste".
Abordant l'influence grandissante du groupe russe Wagner, aux dépens de la France, dans plusieurs pays voisins, comme le Mali, Ousmane Sonko a regretté de les voir célébrer "une logique de "remplacement plutôt que de souveraineté" : pour le principal opposant sénégalais, il n’est pas question de "remplacer un partenariat que l'on considérait défavorable par un nouveau qui peut l’être beaucoup plus".
A propos du dossier judiciaire concernant Monsieur Ousmane Sonko, la Direction de RFI tient à préciser que ses journalistes, à Dakar comme à Paris, ont toujours veillé à couvrir cette affaire avec la plus grande rigueur et avec un souci permanent de l’équilibre.