Des pressions diplomatiques internationales auraient eu droit du président Macky Sall sur le nombre de mandats que peut exercer un président de la République au Sénégal. Le mandat en cours, ramené à sept ans après le revirement du président de la République, sera le premier mandat de Macky Sall qui ne pourra en briguer qu’un second et dernier mandat. Une manière de prévenir les troubles nés de la candidature du président Wade à un troisième mandat, en 2012.
« Par crainte de voir le Sénégal basculer vers une probable révolte, ce point — l’article 6 — de tous les dangers, sera précisé dans le nouveau texte soumis au Peuple sénégalais. Il s’agit notamment du mandat en cours qui fera partie intégrante des nouvelles dispositions de la nouvelle Constitution », informe le quotidien Rewmi, qui rappelle que depuis la sortie du chef de l’État sur la question du référendum, des voix s’étaient élevées pour dénoncer la question du mandat en cours.
Ainsi, « Sur les pressions combinées des Usa et de la France, Macky Sall va préciser en des termes très clairs le contenu de l’article 6. Il sera mentionné dans le nouveau texte “que ce mandat en cours est intégré dans la limitation des mandats”.
Une manière de clarifier la restauration du quinquennat, qui prend en compte le mandat en cours.
Auteur: seneweb