« Cet avion sera amorti au coût annuel de 7 millions par jour »
A travers un communiqué, les membres de cette plateforme disent qu’engager cette dépense alors que le TER est encore à quai, incapable de démarrer, est encore indicatif du manque de sens des priorités du président Sall. «Cet avion sera amorti au coût annuel de 7 millions par jour, soit 2,5 milliards FCFA par an, pendant 20 ans. Compte non tenu des frais de gasoil et opérations. Ce montant correspond encore à l’achat de 400 véhicules par an au coût unitaire de 25 millions FCFA pendant 5 ans. C’est un montant faramineux », explique le collectif.
Ainsi, pour rentabiliser cette dépense, tout en permettant au président de la république de pouvoir faire ses déplacements internationaux, Noo lank suggère d’affecter cet avion à Air Sénégal pour l’exploiter pendant ses périodes d’immobilisation où le président ne voyage pas. «Cela rendrait par ailleurs inutiles des aménagements additionnels coûteux de luxure présidentielle. La compagnie nationale, durement affectée par la crise sanitaire, pourrait ainsi renforcer ses capacités et revenus commerciaux », dit-il.
Ce que propose Noo Lank
Par ailleurs, signalent les membres dudit collectif, la crise sanitaire a enseigné à tous les grands et petits dirigeants du monde que les outils de communication actuels permettent de tenir des échanges entre responsables de tous les niveaux et pays, de manière efficace et peu coûteuse.
«Dès lors, les Sénégalais sont en droit de s’attendre à une baisse drastique des déplacements coûteux du président et des ministres, qui nous coûtent extrêmement chers. Ce serait aussi un exemple fort d’économie de ressources publiques et d’adaptation exemplaire à l’ère post-Covid », soulignent-ils.
Avant d’arguer: « Que le président Macky Sall ait préféré cacher et acheter un avion, sans que les Sénégalais en soient informés, démontre qu’il était parfaitement conscient que c’est une décision inopportune, impopulaire et contraire à la période difficile traversée par les contribuables qui ont vécu des privations de toutes natures durant la crise ».
Pour rattraper cette décision, Noo lank invite à faire preuve de responsabilité en faisant du nouvel avion partie intégrante de la flotte d’Air Sénégal, tout en permettant les déplacements du chef de l’État, si nécessaire.
A travers un communiqué, les membres de cette plateforme disent qu’engager cette dépense alors que le TER est encore à quai, incapable de démarrer, est encore indicatif du manque de sens des priorités du président Sall. «Cet avion sera amorti au coût annuel de 7 millions par jour, soit 2,5 milliards FCFA par an, pendant 20 ans. Compte non tenu des frais de gasoil et opérations. Ce montant correspond encore à l’achat de 400 véhicules par an au coût unitaire de 25 millions FCFA pendant 5 ans. C’est un montant faramineux », explique le collectif.
Ainsi, pour rentabiliser cette dépense, tout en permettant au président de la république de pouvoir faire ses déplacements internationaux, Noo lank suggère d’affecter cet avion à Air Sénégal pour l’exploiter pendant ses périodes d’immobilisation où le président ne voyage pas. «Cela rendrait par ailleurs inutiles des aménagements additionnels coûteux de luxure présidentielle. La compagnie nationale, durement affectée par la crise sanitaire, pourrait ainsi renforcer ses capacités et revenus commerciaux », dit-il.
Ce que propose Noo Lank
Par ailleurs, signalent les membres dudit collectif, la crise sanitaire a enseigné à tous les grands et petits dirigeants du monde que les outils de communication actuels permettent de tenir des échanges entre responsables de tous les niveaux et pays, de manière efficace et peu coûteuse.
«Dès lors, les Sénégalais sont en droit de s’attendre à une baisse drastique des déplacements coûteux du président et des ministres, qui nous coûtent extrêmement chers. Ce serait aussi un exemple fort d’économie de ressources publiques et d’adaptation exemplaire à l’ère post-Covid », soulignent-ils.
Avant d’arguer: « Que le président Macky Sall ait préféré cacher et acheter un avion, sans que les Sénégalais en soient informés, démontre qu’il était parfaitement conscient que c’est une décision inopportune, impopulaire et contraire à la période difficile traversée par les contribuables qui ont vécu des privations de toutes natures durant la crise ».
Pour rattraper cette décision, Noo lank invite à faire preuve de responsabilité en faisant du nouvel avion partie intégrante de la flotte d’Air Sénégal, tout en permettant les déplacements du chef de l’État, si nécessaire.