« Nous avons eu à convoquer cette assemblée générale, pour remercier les militants et faire passer certaines informations », a déclaré le secrétaire général du Cnts de la section de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, El Hadji Daouda Ndour lors d'une rencontre avec la presse.
La Cnts a profité de l’occasion pour répondre aux attaques du Syntus de l’ugb qui fustige la nomination de Biram Ndeck Ndiaye à la tete du Crous.
« C’est une association d’opposants voulant transposer la bataille politique dans les universités. Qui connait l’université, doit savoir que c’est un temple du savoir. Nous n’accepterons pas qu’un tel temple soit politisé. Nous, nous privilégions le travail et le débat d’idées à la place de la bataille d’ordre politique. Celui qui parlait au nom du syndicat, n’est personne d’autre que le frère d’Ousmane Ngom. Nous le connaissons très bien et nous voulons lui dire qu’ici, il n’y a pas de la place pour la politique. Je laisse aux sénégalais d’apprécier et tirer des conclusions. En ce qui nous concerne, au niveau du Crous, nous les prenons pour des mal intentionnés voulant mettre l’université dans une bataille infernale politico-politicienne », a martelé M. Ndour.
Ndarinfo et Rewmi
La Cnts a profité de l’occasion pour répondre aux attaques du Syntus de l’ugb qui fustige la nomination de Biram Ndeck Ndiaye à la tete du Crous.
« C’est une association d’opposants voulant transposer la bataille politique dans les universités. Qui connait l’université, doit savoir que c’est un temple du savoir. Nous n’accepterons pas qu’un tel temple soit politisé. Nous, nous privilégions le travail et le débat d’idées à la place de la bataille d’ordre politique. Celui qui parlait au nom du syndicat, n’est personne d’autre que le frère d’Ousmane Ngom. Nous le connaissons très bien et nous voulons lui dire qu’ici, il n’y a pas de la place pour la politique. Je laisse aux sénégalais d’apprécier et tirer des conclusions. En ce qui nous concerne, au niveau du Crous, nous les prenons pour des mal intentionnés voulant mettre l’université dans une bataille infernale politico-politicienne », a martelé M. Ndour.
Ndarinfo et Rewmi