La présidente des Bajenu Gox de Guet-Ndar a fustigé mardi, « la négligence » des parents de ce quartier populeux de Saint-Louis, matérialisé par le phénomène récurrent de la non-inscription des nouveau-nés dans les registres de l’état civil.
Nafi SENE qui s’exprimait en marge d’une séance de sensibilisation organisée par Claire Enfance et soutenue par la Caritas Espèagnole, a ainsi appelé les femmes de cette localité peuplée de pêcheurs, à faire preuve d’engagement pour sauver l’avenir des leurs enfants.
Koutaye GUEYE, le chef de ce sous-quartier, par ailleurs, président du Comite de Quartier pour la Protection des Enfants (CQPE) s’inscrit dans ce sillage, en invitant à la pérennisation de ces séances d’information et de conscientisation.
Les statistiques sur les enfants non inscrits dans les registres de l’état civil sont inquiétantes, rappelle Bouna DIALLO, coordonnateur de cette activité. « L’intervention active de notre partenaire espagnole découle de ce constat », a-t-il dit.
Au cours des échanges précédés d’une communication sur les types de déclarations, animée par Adama SANKHARE, agent du Centre principal de l’état civil de Saint-Louis, des messages forts ont été transmis aux parents de Guet-Ndar
« Il est admissible et inconcevable que ces négligences s’opèrent dans une ville pionnière comme Saint-Louis, ancienne capitale de l’Afrique l’Occidentale française », a-t-il indiqué.
« La déclaration des naissances est un devoir des parents et un droit pour les enfants », a signalé M. SANKHARE, en soulignant que « L’état civil est au commencement, au milieu et à la fin de la vie de l’individu ».
NDARINFO.COM
Nafi SENE qui s’exprimait en marge d’une séance de sensibilisation organisée par Claire Enfance et soutenue par la Caritas Espèagnole, a ainsi appelé les femmes de cette localité peuplée de pêcheurs, à faire preuve d’engagement pour sauver l’avenir des leurs enfants.
Koutaye GUEYE, le chef de ce sous-quartier, par ailleurs, président du Comite de Quartier pour la Protection des Enfants (CQPE) s’inscrit dans ce sillage, en invitant à la pérennisation de ces séances d’information et de conscientisation.
Les statistiques sur les enfants non inscrits dans les registres de l’état civil sont inquiétantes, rappelle Bouna DIALLO, coordonnateur de cette activité. « L’intervention active de notre partenaire espagnole découle de ce constat », a-t-il dit.
Au cours des échanges précédés d’une communication sur les types de déclarations, animée par Adama SANKHARE, agent du Centre principal de l’état civil de Saint-Louis, des messages forts ont été transmis aux parents de Guet-Ndar
« Il est admissible et inconcevable que ces négligences s’opèrent dans une ville pionnière comme Saint-Louis, ancienne capitale de l’Afrique l’Occidentale française », a-t-il indiqué.
« La déclaration des naissances est un devoir des parents et un droit pour les enfants », a signalé M. SANKHARE, en soulignant que « L’état civil est au commencement, au milieu et à la fin de la vie de l’individu ».
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