Des informations inédites sur la présumée tentative d’assassinat, survenue ces derniers jours, sur la personne d’un jeune officier opérant à la prison civile de Dar Naim à Nouakchott, ont été relayées dernièrement par des médias.
Elles interviennent à des moments où le miraculé du complot, qui n’a été atteint d’aucune blessure physique au cours de cette tentative de liquidation, a commencé à manifester brusquement des faiblesses inexpliquées, nécessitant son évacuation en toute discrétion à l’étranger pour subir des examens et bénéficier des soins urgents.
Dressant une rétrospective de cette tentative d’assassinat pour décrypter les raisons mystérieuses de cette détérioration brusque de l’état de santé de l’officier, les enquêteurs étaient certains que la victime, qui a suspecté une traque, avait pris toutes ses précautions pour éviter de faire l’objet d’une embuscade de ses poursuivants.
A un moment de cette course poursuite, l’officier qui avait été interpellé dans sa route vers son lieu de travail par une femme, avant de se rappeler qu’elle pourra être complice de ses traqueurs, s’est souvenu qu’elle avait eu le cran de passer, en une fraction de seconde, ses mains sur son cou, à son passage en vitesse à son niveau, avant de partir en trombes pour cogner dans un état d’inconscience le mur de la prison, où les gardes s’étaient dépêchés à son secours.
Indemne dans un premier moment, l’officier a brusquement présenté des cas de fatigue et de faiblesse qui sont demeurées énigmatiques pour les médecins malgré tous les efforts pour les diagnostiquer, faisant supposer, qu’il aurait été empoisonné par une matière chimique dangereuse, fort probablement à ce seul instant où confondant la dame à une femme appelant à l’aide, avant de flairer le danger, elle promenât sa main toxique main sur sa nuque.
cridem
Elles interviennent à des moments où le miraculé du complot, qui n’a été atteint d’aucune blessure physique au cours de cette tentative de liquidation, a commencé à manifester brusquement des faiblesses inexpliquées, nécessitant son évacuation en toute discrétion à l’étranger pour subir des examens et bénéficier des soins urgents.
Dressant une rétrospective de cette tentative d’assassinat pour décrypter les raisons mystérieuses de cette détérioration brusque de l’état de santé de l’officier, les enquêteurs étaient certains que la victime, qui a suspecté une traque, avait pris toutes ses précautions pour éviter de faire l’objet d’une embuscade de ses poursuivants.
A un moment de cette course poursuite, l’officier qui avait été interpellé dans sa route vers son lieu de travail par une femme, avant de se rappeler qu’elle pourra être complice de ses traqueurs, s’est souvenu qu’elle avait eu le cran de passer, en une fraction de seconde, ses mains sur son cou, à son passage en vitesse à son niveau, avant de partir en trombes pour cogner dans un état d’inconscience le mur de la prison, où les gardes s’étaient dépêchés à son secours.
Indemne dans un premier moment, l’officier a brusquement présenté des cas de fatigue et de faiblesse qui sont demeurées énigmatiques pour les médecins malgré tous les efforts pour les diagnostiquer, faisant supposer, qu’il aurait été empoisonné par une matière chimique dangereuse, fort probablement à ce seul instant où confondant la dame à une femme appelant à l’aide, avant de flairer le danger, elle promenât sa main toxique main sur sa nuque.
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