Après avoir imbriqué sa marque indélébile à la Douanes sénégalaise, Makhtar Cissé, est en train de faire son chemin sans tambour, ni trompette, mais avec une efficacité et une efficience convaincantes en bandoulière. D’une part, il a su stabiliser les délestages intempestifs à la SENELEC. Et d’autre part, Makhtar Cissé a, en collégialité avec le ministre de l’Energie et du Développement des Energies Renouvelables, les jalons d’une révolution solaire sans précédent au Sénégal, avec l’inauguration de deux centrales solaires à Bokhol (département Dagana) à Malicounda (département Mbour).
Avocat et énarque, avec un cursus de génie, Makhtar Cissé a la légitimité technique et technocratique qui ont fait de lui une «bête de travail» intransigeante qui a eu des résultats convaincants partout où il est passé dans l’administration sénégalaise. Et c’est pourquoi Macky Sall l’avait nommé ministre délégué chargé du Budget dans le gouvernement 1 d’Aminata Touré, avant de le faire quitter cette station pour l’affecter dans le secteur compliqué de SENELEC.
Mais, dès son arrivée, Makhtar Cissé a su impulser un management qualificatif et efficient qui a impacté les résultats de la SENELEC. Avec brio, Makhtar Cissé a su incarner avec SENELEC non seulement la vision du Chef de l’Etat décrite dans le Plan Sénégal Emergent (PSE), mais aussi la Lettre de Politique de Développement du Secteur de l’Energie.
Et c’est grâce à un management révolutionnaire qui a complètement changé avec plus de sérieux dans le contrôle du recrutement et l’efficience des services, que Makhtar Cissé a mis la SENELEC dans des conditions optimales de performances.
Bref, Makhtar Cissé a conduit les mêmes agrégats qui lui avaient valu à l’Inspection générale d’Etat, la Douanes de bons résultats pour ensuite être parachuté au ministère des Finances où il n’a pas duré. Aujourd’hui en héritant du ministère du Pétrole et des Energies, c’est juste une suite logique et une cohérence de choix.
Massène DIOP Leral.net
Avocat et énarque, avec un cursus de génie, Makhtar Cissé a la légitimité technique et technocratique qui ont fait de lui une «bête de travail» intransigeante qui a eu des résultats convaincants partout où il est passé dans l’administration sénégalaise. Et c’est pourquoi Macky Sall l’avait nommé ministre délégué chargé du Budget dans le gouvernement 1 d’Aminata Touré, avant de le faire quitter cette station pour l’affecter dans le secteur compliqué de SENELEC.
Mais, dès son arrivée, Makhtar Cissé a su impulser un management qualificatif et efficient qui a impacté les résultats de la SENELEC. Avec brio, Makhtar Cissé a su incarner avec SENELEC non seulement la vision du Chef de l’Etat décrite dans le Plan Sénégal Emergent (PSE), mais aussi la Lettre de Politique de Développement du Secteur de l’Energie.
Et c’est grâce à un management révolutionnaire qui a complètement changé avec plus de sérieux dans le contrôle du recrutement et l’efficience des services, que Makhtar Cissé a mis la SENELEC dans des conditions optimales de performances.
Bref, Makhtar Cissé a conduit les mêmes agrégats qui lui avaient valu à l’Inspection générale d’Etat, la Douanes de bons résultats pour ensuite être parachuté au ministère des Finances où il n’a pas duré. Aujourd’hui en héritant du ministère du Pétrole et des Energies, c’est juste une suite logique et une cohérence de choix.
Massène DIOP Leral.net