La problématique de l’alimentation en eau potable des quartiers à topographie élevée de Louga est réglée. Il s’agir principalement de Montagne Nord, Keur Serigne Bara, Althiéry, Garage, etc.
Sous l’autorité du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, la Société Nationale des Eaux du Sénégal (SONES) a mis en service, ce samedi 12 mars 2016, un nouveau forage et un nouveau château d’eau. Le forage a une capacité de production de 208 m3/heure, soit 4992 m3/jour.
Cet ouvrage s’ajoute aux deux forages existants à Louga. Depuis la mise en service de ce nouvel ouvrage de production, la pression est très bonne. Mieux, il existe une totale autonomie vis-à-vis du Lac de Guiers. En effet, pour alimenter correctement la ville de Louga (les besoins se chiffrent, au total, à 8000 m3/jour), un prélèvement de 2000 à 2600 m3/jour était fait, par piquage, sur la conduite venant de Keur Momar Sarr (appelée ALG) et qui alimente Dakar en eau potable.
En dehors du forage, le dispositif est complété par un château d’eau d’une capacité de 1100 m3. Ce réservoir est implanté sur un site à haute topographie pour alimenter les points qui éprouvaient des difficultés à accéder à la ressource.
La SONES a également, dans le cadre de l’extension de son réseau, procédé à la pose de 13 kilomètres de conduite. Pour les couches vulnérables, elle a réalisé 5 bornes fontaines et 750 branchements sociaux dans la commune sur un total de 3000 dans la région.
Pour rappel, la zone Nord du Sénégal était confrontée au défi de la production d’eau potable. La SONES s’est engagée, dans le cadre du Programme Eau potable et Assainissement pour le Millénaire (PEPAM), à doter Louga des ouvrages nécessaires afin de faire face aux exigences d’un quotidien meilleur. Le coût est d’1,5 milliard FCFA.
Outre la commune, l’Etat du Sénégal, à travers la SONES, a réalisé 2 châteaux d’eau de 400 et 500 m3 à Kébémer et Dahra.
Dakar, le 13 mars 2016
LE CHARGE DE LA COMMUNICATION
Habib Demba FALL 786371623
Sous l’autorité du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, la Société Nationale des Eaux du Sénégal (SONES) a mis en service, ce samedi 12 mars 2016, un nouveau forage et un nouveau château d’eau. Le forage a une capacité de production de 208 m3/heure, soit 4992 m3/jour.
Cet ouvrage s’ajoute aux deux forages existants à Louga. Depuis la mise en service de ce nouvel ouvrage de production, la pression est très bonne. Mieux, il existe une totale autonomie vis-à-vis du Lac de Guiers. En effet, pour alimenter correctement la ville de Louga (les besoins se chiffrent, au total, à 8000 m3/jour), un prélèvement de 2000 à 2600 m3/jour était fait, par piquage, sur la conduite venant de Keur Momar Sarr (appelée ALG) et qui alimente Dakar en eau potable.
En dehors du forage, le dispositif est complété par un château d’eau d’une capacité de 1100 m3. Ce réservoir est implanté sur un site à haute topographie pour alimenter les points qui éprouvaient des difficultés à accéder à la ressource.
La SONES a également, dans le cadre de l’extension de son réseau, procédé à la pose de 13 kilomètres de conduite. Pour les couches vulnérables, elle a réalisé 5 bornes fontaines et 750 branchements sociaux dans la commune sur un total de 3000 dans la région.
Pour rappel, la zone Nord du Sénégal était confrontée au défi de la production d’eau potable. La SONES s’est engagée, dans le cadre du Programme Eau potable et Assainissement pour le Millénaire (PEPAM), à doter Louga des ouvrages nécessaires afin de faire face aux exigences d’un quotidien meilleur. Le coût est d’1,5 milliard FCFA.
Outre la commune, l’Etat du Sénégal, à travers la SONES, a réalisé 2 châteaux d’eau de 400 et 500 m3 à Kébémer et Dahra.
Dakar, le 13 mars 2016
LE CHARGE DE LA COMMUNICATION
Habib Demba FALL 786371623